Attirer la foudre [Leïka]

Putain que ses enfants dans les villages sont chiants, à chaque fois qu'ils me voient, il crie "Oh le beau petit chaton". Je vais leur en faire un moi chaton. Je marche rapidement au travers des villages avoisinant pour me rendre près d'un étendu de peur profonde... Si vous avez pas encore devinez, j'ai une peur bleu de l'eau. Je dois toutefois me laver une fois de temps à autre.

Il était encore tôt, j'avais de la chance pour les enfants, car ils étaient occupés avec les chants malgré leur acclamation, ceux-ci ne pouvait pas me courrir après comme ceux des grandes villes. Je Humais l'air du museau et vola un poisson frais d'un pauvre marchant grassouillet. Il n'a aucune chance de m'attrapper. Je me dirige hors de la ville et au travers un chantier visiblement caché pour me rendre proche de la mer.

Un homme y était déjà, mais pour lui, je ne suis qu'un chat qui mange son poisson. Tout à fait normal. L'odeur de la pluie se fit sentir et je savais que je finirais trempé, mon regard parcourrait l'horizon et je ne pouvais pas me cacher à part sous les feuilles. Il n'y a qu'un homme, je devrais être en sécurité. Une fois celui-ci nue, je pouvait apercevoir des marques luisante, un peu comme les tatouages naturelle de mon visage.

Il était plutôt alerté par ma présence, mais je ne crois pas qu'un chat va le déranger. Finalement, je m'approche doucement un peu inquiète, car les élémentaux ont déjà tenter de me tuer moi et mon père, car je suis une bâtarde. Je peux toujours essayer de voir s'il est différent des autres. Je prends ma forme humaine.

Mes cheveux d'un mauvais clair tombe en cascade sur mes frêles épaules nue comme le reste de mon corps, Ma peau balsamé laissait entrevoir que je n'étais pas Myrefalloise et ma grandeur était visiblement pas mon point fort. Le désavantage d'être animorphe est le fait que je n'ai point de vêtement pour m'habiller par la suite. Mes yeux d'un jaune éclatant fixait l'homme et je penchais ma tête sur le côté comme un chat.

Puis me dirigea doucement vers le bord de l'eau ou il y aurait moins de chance que je me noie. Mes pas était très craintif, car ma peur accélérait mon battement de coeur et j'étais effrayés. D'ailleur, quelques étincelles de foudre sortait de mon corps avec mon émotion qui était puissante puis s'arrêta une fois que mon pied eu toucher l'eau. Je me lavais doucement et pris parole d'une voix douce en roulant mes "R" comme un chat auprès de l'homme.

- Êtes-vous comme ses horrible humanoïde qui voudront me tuer, car je suis une bâtarde ?

Mon regard fixait ses marques sur son corps qui pouvait ressembler au miens. J'étais curieuse et un jour cela allait me tuer...

Tout un spectacle de comédie cet homme, en voyant le corps nue d'une femme, celui-ci détournait le regard rapidement et il me regardait de nouveau quand les crépitements des filaments électriques sortait de mon corps. Sa réponse à ma question me prit par surprise et qu'il ne sache pas de qui je parlais était encore plus bizzare. De plus, sa phrase contenant le mot enfant me fit hisser comme un chat.

Je ne suis pas une enfant, ce n'est pas à cause que je suis petite et frêle que je dois être traiter ainsi... Les hommes se croit tout permis, mais au moins j'ai ma réponse, il n'est pas un élémentaux originaire de Kewanee. Ma voix sortit avec un léger hissement.

- Élémentaux... Ces raciste et dominant...

Je pris une pause légère pour respirer un peu et reprit parole du même ton, tout en roulant toujours mes "R".

- Ce n'est pas parce que j'ai la grandeur de ses pleurnichard que j'en suis une ! Je suis une femme...

Puis celui-ci retira son pantalon et se dirigea dans l'eau sans la moindre hésitation. La chance de ne pas avoir subit un traumatisse en rapport avec l'eau. Il n'était pas horrible, mais un homme reste une bête qui ne pense qu'à se reproduire, je vais devoir faire attention. Quand il sortit sa tête de l'eau, sa phrase sur les bâtards étaient satisfaisante et sa question sur qui je suis était normal.

- Je suis qu'une simple chatte errante... Aux origines mystérieuse...

Puis je plongeais ma tête dans l'eau et en sortit rapidement et en paniquant, je recule rapidement vers le bord de la plage et m'asseoit le temps d'essuyer l'eau sur mon visage. Mes cheveux sont maintenant collée contre moi et je pousse un soupir de soulagement. Je prends la parole doucement.

- Et qui es-tu ?

J'étais curieuse de savoir quel type d'homme j'avais en face de moi et le fait que celui-ci partage des marques semblable aux miennes étaient vraiment particulier. Pourquoi un autre bâtard ses retrouvers ici, je croyais être la seule qui avait réussi à s'éloigner de cette île maudite.

Que les esprits me protège et me permettre d'avoir possiblement quelqu'un avec qui échanger sans jugement. Je n'ai pas encore montrée ma vrai nature à Azalée, je devrais un jour le faire, mais ce jour-là m'effrais beaucoup.

Mon interlocuteur ne semblait pas comprendre pourquoi je parlais d'élémentaux et il leva les yeux au ciel quand ma je lança ma remarque sur ma taille et il devait probablement essayer de juger mon âge. Je poussais un soupir et sa réaction à ma présentation semblait ne pas lui plaire.

Quand il prit la parole, mon fils de pensé fut valider par lui et il rajouta que rien de cela ne permettait pour lui de savoir qui j'étais. Je pris une voix désinvolte et prononça un prénom.

- Taja...

Ce n'était pas mon vrai nom, mais celui que mon "humain" m'avait donner, cela signifiait quelque chose dans sa langue que je ne me souviens pas rapidement. Si cela pourrait permette une facilité d'échange avec l'homme, c'était un prix durement payé.

Je suis tellement habituée de vivre comme un chat et non comme une humaine et quand celui-ci me demandait de regarder ailleurs pendant quelques minutes, parce que Monsieur n'aime pas que les jeunes femmes inconnue le voit ainsi. Surtout si elles ont l'âges d'être sa petit soeur. J'émis un léger rire et en me tournant la tête, je pris parole doucement.

- J'en ai vue d'autre, ne t'inquiet pas.

Puis sa réponse fut lancer d'une voix morne, il était un ancien soldat aux origines mystérieuse. Je riais de nouveaux et je lui adressais de nouveau mes paroles.

- Si un nom est plus facile pour vous, je suis Taja.

J'avais répéter mon nom, non pas parce que je croyais qu'il n'avait rien compris, mais plus pour faire une introduction plus officielle. Je pris aussitôt la parole de nouveau.

- Je sais pas si cette présentation convient, j'ai pas l'habitude d'échanger des paroles.

Je préfère vachement mieux vivre en tant que chat, il y a moins de problème et surtout, je n'ai pas à parler avec d'autre personne. Si je pourrais éviter tout le monde, je le ferais, mais un jour, je devrais bien commencer à vivre dans la société et je n'ai vraiment pas hâte.

Durant le temps que mon regard fût détourner, l'homme en profitait pour se vêtir et quand sa ceinture se boucla, je me retourna pour y faire face et sa voix résonnait rapidement. Il me demande que si je voulais parler plus sérieusement d'enfiler sa chemise qu'il m'a lancé et que j'attrappe doucement. Le reste de sa phrase me fit rire et je lui répondis doucement en enfilant sa chemise de peine et de misère.

- Je n'ai jamais fait quelque chose avec un homme.. J'ai tendance à préfèrer la solitude. Vous seriez étonner de voir ce que je vois en tant que simple animal...

Je me redresse doucement en essuyant le sable de sur mes jambes humides et me redresse du haut de mon mètre. Il se nommait donc Lowell et ma réponse semble lui être suffisante, car un sourire apparait sur son visage et cela le rend beaucoup plus jovial.

Ses épaules se haussait suite à ma remarque, il devait déjà avoir remarquer que je n'étais pas habituée avec les bases. Après tout, j'ai appris doucement en écoutant les personnes et la base avec mon père disparu. Je suis sûre que je vais le retrouver un jour ou l'autre. Sa voix retentit et je le fixe de nouveau. Il me demande ce qu'est l'histoire avec les élémentaux et ce qu'il a de commun avec lui. Je prends parole doucement tout en pointant en ordre son torse avec les marques et mon visage avec les marques.

- Ses marques sont signe de notre origine élémentaire. De ce que mon père m'a raconté quand j'étais plus jeune, cela nous donnerais la capacité de controller une élément précis. Dans mon cas, je suis originaire de la foudre...

Je pousse un soupir et mon regard va vers le ciel, j'aimerais pouvoir lui répondre plus, mais mes connaissance sont très limité. Je n'ai pas vécu longtemps sur notre île d'origine, car les Élémentaire on tendance à tuer les bâtards.

L'homme fit une grimace que je lui avais parler de ce que l'on pouvait voir en tant qu'animal et cela me fit rire. Nous n'avons décidément pas le même style de vie. Je préfères vachement mieux être sous forme de chat et faire ce que je veux que de devoir suivre des règles abjecte et stupide dicter par une personne.

Il regardait mes cheveux, probablement la couleur qui devait lui sembler étrange. Je dois avouer, qu'avec l'élément de la foudre à causer mes cheveux d'avoir cette teinte étrange et je ne comprend pas pourquoi. Lowell pris la parole en me disant qu'il ne doute pas de ce que mon père m'a dit, mais qu'il ne pouvait pas me croire sur la parole. Dû au fait que les élémentaux viens d'être découvert avec l'île de Kewanee, il n'y a pas longtemps.

Mon corps frissonna au prononcement de ce pays natale qui voulait que me tuer et rien de plus. Je pris parole doucement pour répondre à ce qu'il m'a dit.

- Je ne suis pas vexée, cela est normal pour vous de ne pas croire sur parole... Je suis née sur Kewanee, mais ma mère n'a pas survécu à ma naissance... Ce pays est très indigène contrairement au reste du monde.

Puis l'homme qui était vachement plus grand que moi pris une expression perplexe et s'approchait de moi doucement avec les sourcils fronçés. Nos regards était figés l'un dans l'autre et il ouvrit sa main pour créer une orbe lumineuse avec de léger mouvement d'éclairs. Il me demandait sérieusement si je parlait de ce genre de foudre et de ce pouvoir. Je fis un léger sourire et pris parole doucement.

- Oui, mais chaque magie est différente sur la personne... pour ma part je préfères ne pas l'utiliser, car cela me fait mal à chaque fois. La foudre est unique à nos origine d'élémentaux, je n'ai trouver personne qui peut l'utiliser à part nous...

Mes "R" roulés devaient rendre la discution beaucoup moins sérieuse, mais pour lui prouver ma bonne fois, je décide de créer un orbe de foudre dans ma mains droites et j'émets un léger gémissement de douleur et je cesse immédiatement l'utilisation de cette magie.

Mon souffle est haletant et je détestes utiliser mes pouvoirs, mais au moins il a vu que je ne suis pas une menteuse. J'aime bien qu'il se soit accroupis pour êtres à mon niveau, je prend la parole une dernière fois.

- Malheureusement, je ne contrôle pas mes pouvoirs, il suffit d'une trop grande émotion pour les libérer...

L'homme m'écoutait attentivement pendant que je lui décrivais mes origines et ceux qui nous avaient mal traités. Je m'ennuie énormément de mon père et je sais au plus profond de mon être qu'il est en vie, mais je ne sais pas où celui-ci serait. Puis, mon partenaire du moment me demandait que les élémentaux fût ceux qui essayaient de tuer les bâtards à leur naissance et que tout cela soit une façon de penser attardé. Cela me fit rire légèrement et il me confirma que les hommes n'étaient pas mieux. Je pris parole doucement avec mon fameux accent.

- Ce n'est pas tous les Élémentaux qui veulent la mort des bâtards, mais je suis ce qu'il juge comme une sauvage et une abomination... Je suis le mélange entre un animorphe et une élémentale... Pour eux les animorphes sont sauvages...

Puis j'entendis le mercenaire murmurer à propos qu'il avait des origines pourries entre les humains et leur soif de pouvoir et les élémentaux qui sont complètement arriérés. Je penche ma tête sur le côté et je prends encore une fois la parole.

- Je ne crois pas que nos origines font, qui nous sommes...

Quand je fis une démonstration de mon pouvoir, Lowell fronça ses sourcils suite à mon gémissement de douleur et son visage prit un aspect soucieux. Ses paroles me prirent par surprise. Il me dit que si la pratique me blesse de ne pas me forcer à pratiquer. Il me dit que je semble avoir vécu beaucoup de choses pour mon âge et que cela n'a pas dû être facile. Il croit, que c'est probablement un souvenir douloureux qui lie mon pouvoir à ce que j'ai vécu a Kewanee ou mon côté animorphe qui m'empêcherais.

Il approchait sa main doucement et s'arrêta à mi-chemin, probablement dû au fait que j'ai reculé un peu. Je m'avance doucement en reniflant l'air ambiant et son odeur à lui, puis je glisse ma tête sous sa main en continuant de humer l'air et ronronnant comme un chat craintif qui tente d'être aimable. Il n'a pas l'air méchant envers moi et je prends la parole doucement.

- Les blessures sont la répercussion de l'utilisation de ma magie, cela est la même chose quand j'utilise la magie de soin...

Je ne bouge pas de sous sa main et ferme les yeux en continuant de ronronner, la vie de chat est tellement plus simple que la vie d'humanoïde.

Il était vraiment sympathique comme homme, bien loin de ce que je peux avoir aperçu dans les divers quartiers lors de mes voyages et loin de ses nobles sans scupules. Je pousse un soupire de satisfaction et l'entend marmonner dans sa barbe. Il devrait vite apprendre que je peux quand même l'entendre. Je décide de ne pas répondre avec la moue boudeuse qu'il avait sur son visage.

Le seul objet qui me rappellait mes parents est mon collier que mon père avait ajuster un moyen facile pour moi de le garder et ce peut importe la forme que je prend. C'était un moyen facile, mais efficace. Lowell prit parole et me dis que si je connais d'ou je viens, je vais savoir ou aller. Je sais toujours pas ou aller, donc il doit y avoir des exceptions. Il espérait aussi que pour une fois la pomme soit tombé loin de l'arbre, car sa mère avait beau l'aimer et avoir travailler toute sa vie pour qu'il ai une vie confortable. Celle-ci est devenue folle après son voyage à Xavaar d'après les dires de son grand-père.

Je ne réponds pas plus, mais continues de ronronner quand celui-ci me fit des caresses dans les cheveux, il y avait très longtemps que je n'avais pas eu un contact humanoïde comme ceci. Le dernier à m'avoir fait cela était mon père avant qu'il disparait. Le mercenaire me demandait si j'avais une place pour me protéger de la pluie. Je fis signe que non et pris la parole doucement.

- Seulement un terrier sous un arbre... ou dans des abris bizzares...

Ses caresses était accentué et je compris rapidement qu'il voulait rentrer. Je me transformai de nouveau sous ma forme féline et ajusta mon collier pour qu'il reste autour de mon cou. Par la suite, je sautais sur les épaules de l'homme en lui donnant quelque léchouille sur la joue pour lui montrer que je le suivrais. Je me couchais sur ses épaules et ronronnais calmement.

Une fois coucher sur son épaule, je m'accroches doucement sur lui et il  me protège en avançant d'un pas rapide. Il me proposa même de rester chez lui pour aujourd'hui et si je veux partir demain matin, celui-ci ne m'empêcherais pas. Je laisse un léger miaulement avec quelques léchouilles pour approuver.

La pluie mouillait mon pellage et je tentais de me cacher le plus possible contre lui, mais en vain, cette foutu eau me trempais et j'en avais marre. Lowell était très gentil avec les autres villageois et une fois devant ce qui semble être sa maison, il pousse un soupir avant de rentrer et appelle sa mère.

J'entendais des pas freutrés avant même de voir une petite femme à la mine fatigé et elle semblait soucieuse. Je pouvais sentir ses émotions grâces à mon côté félin. Elle lui répondit en disant que normalement, celui-ci l'appelle ainsi quand il a des reproche à lui faire et qu'il aille manger, car elle n'était pas d'humeur et il parlerait plus tard.

Cette dame l'avait à peine regarder, comme-ci elle en avait honte. Elle s'approcha de lui pour me dévisager et je courbais en hissant. Je n'aime pas me faire approcher trop et sutout qu'elle me traitait de créature. Je peux laisser le frêle passer, car il est vrai que je suis frêle.

L'homme ne lui répondit pas et me déposait sur la table ou il y avait déja une assiette de prridge, du pain et une motte de beurre. J'approchais de façons discrète du prridge et commençais à en manger tranquillement. Il lui adressa la parole en disant qu'il y a des choses à se dire, peu importe qu'elle soit d'humeur ou pas. Qu'il serait temps d'arrêter de se comporte comme une enfant et d'être égoïste.

Je m'assis proche du bol de porridge et lèche le contour de ma bouge après avoir voler du porridge et fixe la dame intensément, comme si je comprennais l'échange entre ces deux personnes.