Breathe.Finwë Gefroy et Elise De GeywishRêvez comme si vous n’aviez rien à perdre, croyez comme si tout était possible, Aimez comme si votre coeur ne connaissait pas de limites, vivez comme s’il avait qu’aujourd’hui. Nous sommes nos choix.J'ai froid. Je ne suis pas du genre à me plaindre de la température, mais mon corps n'est pas fait pour endurer les températures de Myrefall en hiver. Pour moi, à ce temps-ci de l'année, il fait beaucoup plus chaud, le soleil est présent et surtout, les arbres ont des feuilles. Pour couronner le tout, il n'y a pas de neige, ce truc blanc si froid qui tombe du ciel comme la pluie.
On m'a dit, au Bal du centenaire, que Myrefall reposait au bout d'un long fleuve, et que si je désirais, je pouvais m'y rendre pour contempler le magnifique paysage. L'eau et la mer sont des choses qui me manquent atrocement et c'est principalement ce qui m'a poussé à me rendre sur le bord de l'eau, dans l'espoir de prendre une bonne inspiration de l'odeur salée de l'eau de la mer. J'ai enduré le froid jusque là, je suis emmitouflé dans un gros manteau que l'on m'a prêté, et j'ai presque la glace au bout du nez. Quelle ne fut pas la déconcertation lorsque j'eus découvert la vérité ; ce grand fleuve où l'eau est sensé régner n'est en réalité qu'un grand désert glacé où la neige voltige dans tous les sens au gré du vent. L'autre rive représente des montagnes du nord du pays qui semblent encore plus glacées que l'eau que j'espérais voir avant d'arriver ici.
Un peu découragé d'avoir fait tout ce chemin pour rien, je pose mes fesses au sol, dans un petit coin entre deux arbres, regardant le blanc immaculé danser dans les rafales que le vent laisse percevoir, permettant donc de voir les courants d'air défiler sous nos yeux. Un long soupire de découragement s'échappe de mes lèvres alors que je me blottis dans mon manteau. L'air glaciale fend mes poumons et mon nez comme des lames de rasoirs, et respirer devient plus difficile que d'habitude.
«On va laisser tomber l'eau, alors. J'ai hâte de retourner là-bas.....»
Ma plainte s'est échappée de mes lèvres malgré moi, comme si je ressens l'urgence de laisser entendre mon désagrément. Mon regard aveuglé par toute cette pâleur se ferme enfin. J'écoute le vent qui siffle entre les arbres, tentant de me ressaisir un peu, et surpasser la déception que je dois encore encaisser. Un dernier murmure s'échappe de mes lèvres pour un long moment, alors que je grelotte dans mon manteau, assis dans la neige, le bout du nez froid et la gorge asséchée par le froid.
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Finwë Gefroy
Sam 9 Nov - 16:47
Breathe. Feat. Finwë Gefroy et Elise De Greywish.
« Il ne faut qu'une petite étincelle pour allumer un grand feu.»
Le froid mordant de Myrefall, n'était rien contrairemen à notre Duché, après un bon bain, Karina vint m'aider à me vêtir car un corset ne s'attache point seule, elle m'aida aussi à enfiler ma robe légèrte et je m'appuyai sur elle pour placer mes bottes à talons hauts. Une fois mes cheveux attachés et tenue par un accessoire qui possède un gemme bleu qui allait avec mon collier et mes yeux, je me parfuma avec une senteur de lavande. Karina se préparait aussi car je m'apprêtai à sortir pour aller sur le bord du fleuve. Elle s'habilla en conséquence et plaça une armure et son épée sur elle, son bouclier dans le dos.
Je me dirigea vers mon père pour l'avertir de ma sortie et de ma direction, celui-ci m'ordonna d'amener dix gardes avec moi. J'acceptai pour lui faire plaisir et je me dirigeai chercher les hommes en armure représentant notre Duché. Leur ordonnant de me suivre sous ordre de mon père.
Je pris la direction du fleuve calmement avec Karina à mes côtés et le reste de la cohorte qui me suivaient, j'étais désespérée. Je ne passai point inaperçue dans le village avec tout les gardes à mes côtés, ce qui me fesait royalement déprimé, j'aurai préféré y aller seule avec Karina, pour éviter les rumeurs et l'attention.
Le bruit des armures en métal pouvait s'entendre de loin, et quel désapointement de voir le fleuve aussi garnis de la blancheur de la neige. J'entendis vaguement une plainte provenir d'entre deux arbres, je fis signe au garde de ne pas bouger, déja que Karina allait me suivre et que je restai à leur vue. Je ne voulais pas effrayer la personne n'ont plus.
Je pris quelque morceau de bois et ma protectrice m'imita, j'approchai calmement de l'endroit ou que j'avais entendu une plainte pas très claire et j'entendis de nouveau une plainte contre le froid. Décidément cette personne ne devait pas être habituée au froid. Je déposai les bûches et branches proche de lui mais assez loin des arbres pour éviter de le brûler. Je fis signe à Karina de s'éloigna pour éviter que son bouclier bloque ma magie.
Elle me gardait à l'oeil mais j'étais maintenant seule devant l'inconnu et la pile de bois. Il allait probablement me trouver folle, je n'avais que ma robe, car le manteau que mon père m'obligeait à porter était dans mes mains. Je n'avais pas froid mais lui semblait congeler. je fis quelques gestes discret et le feu s'alluma, je m'approchai de l'homme, en lui répondant calmement.
- La place à vos côté est-elle prise ?
Mon regard exprimait encore une tristesse mais je fis un sourire probablement faux, car mon sourire, je l'avais perdu, il y a longtemps. Je pris de nouveau parole.
- Vous ne devez pas être habitué au froid pour vous plaindre ainsi.
J'entendai l'accord de l'homme pour m'assir prêt de lui, je ne pouvais pas déterminer sa race car il était blottis dans son manteau. Il devait probablement venir de Baltoise ou de Relvagoth. Je saurai très bientôt à qui j'aurais l'honneur d'avoir comme partenaire de discution.
Breathe.Finwë Gefroy et Elise De GeywishRêvez comme si vous n’aviez rien à perdre, croyez comme si tout était possible, Aimez comme si votre coeur ne connaissait pas de limites, vivez comme s’il avait qu’aujourd’hui. Nous sommes nos choix.J'entends du bruit au travers le vent. Le calme qui règne se brise peu à peu par des bruits d'armures, de métal et d'armes, ainsi que des voix inconnues. Mon regard cherche la provenance de tout ce bruit désagréable pour constater qu'une armée s'est arrêtée relativement loin de moi. Une jeune femme se rapproche. La pauvre semble démoralisée, elle a son manteau dans les mains. Visiblement, la jeune dame est une gorinn ; peu vêtue, elle semble très tolérante au froid, et sa petite taille ainsi que la blancheur de ses cheveux affichent clairement sa race à quiconque la croisera.
Mon regard la suit. Elle se rapproche de moi avec une autre femme vêtue d'une armure, ainsi que plusieurs branches dans les mains. De quoi partir un feu, me direz-vous ; c'était clairement son but. Elle dépose tout cela devant mon regard vitreux. Un flamme se forme rapidement entre les broussailles déposées devant moi, et un feu s'allume. La flamme pétille dans le reflet de mes yeux, la chaleur se forme autour de moi, me réconfortant du même coup.
La voix de la jeune dame s'élève finalement, et un sourire s'étire sur mes lèvres pâlies par le froid. Elle initie sa présence en me demandant si la place à mes côtés est libre. Je lui porte donc rapidement une réponse en hochant la tête positivement, me décalant même légèrement vers un côté pour lui laisser de la place. Elle m'affiche l'un de ces sourires forcés, le genre de rictus que je me suis longtemps efforcé d'entretenir sur mon visage lors d'une certaine époque où l'espoir d'une belle vie s'était complètement envolé.
«Tu peux prendre place.»
Je me rapproche un peu du feu pour ma part, bougeant vers l'avant de quelques centimètres. Elle s'empresse de briser le silence à nouveau en évoquant le fait que je ne semble pas habitué au froid. C'est un fait, je déteste les températures trop froides. J'hoche la tête timidement, affirmant donc ce qu'elle a dit.
«Je viens d'un pays chaud où en hiver, il y a encore des feuilles dans les arbres. La neige, je n'avais jamais vu cela de ma vie par le passé... mais putain c'est froid...»
Ma voix est faible, légèrement tremblante. Il fait froid, mon corps ne le tolère pas, mais inconsciemment, je remercie infiniement la jeune femme qui vient de s'incruster dans la solitude qui me hantait quelques instants auparavant. La chaleur humaine et la courtoisie dont elle a fait preuve me manque. C'est quelque chose dont je ne suis pas habitué mais je dois avouer que cela faisait du bien à voir. Et quoi dire du feu, enfin une dose de chaleur!
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Finwë Gefroy
Dim 10 Nov - 11:55
Breathe. Feat. Finwë Gefroy et Elise De Greywish.
«De toutes les sources d'énergie, la chaleur humaine est la moins coûteuse...»
Je savais que mes avoirs mes gardes allaient attiré l'attention, avec tout le bruit qu'il font quand ils se déplacent, mais bon, l'ordre de mon père est absolu et je devais avoir ces licheux de bottes avec moi.
L'homme me suivait du regard le temps que j'allume le feu et celui-ci hôcha la tête positivement en se décalant pour me laisser la place. Il me confirma que je pouvais prendre place, ce que je fis délicatement. Celui-ci s'approcha un peu du feu, signe que cela semblait lui faire du bien, un léger sourire apparue sur mes lèvres.
Il me confirma qu'il venait d'un pays chaud et que leur hiver était l'équivalant d'un été ailleurs, cela devait être plaisant à voir mais la seule place qui me vint en tête était l'Archipel de Baltoise, lieu ou que les Ondines étaient maitres. Je déposai mon manteau sur lui en disant calement.
- Je vois, vous êtes un Ondine alors ?
Je pris une légère pause et repris parole doucement.
- Je suis bête, j'ai oublié de me présenter, Je suis Elise De Greywish, enchanté de faire votre connaissance sir... ?
Je lui laisserait le temps de répondre et pendant ce temps, je fis quelques gestuelles de plus pour intensifier légèrement le feu et ainsi réchauffer autour plus rapidement. Les gardes de mon père pouvaient bien être congelés, cela était le dernier de mes soucis et Karina recevait un peu de chaleur et cela ce voyait, elle était heureuse aussi.
J'espèrai que mon compagnion serait plus au chaud maintenant que quand il semblait trembler de froid. Ce n'est pas tout le monde qui résiste au froid de la même façon. Je repris parole en me rappelant qu'il n'avait jamais vue de neige par le passer et qu'il trouvait cela froid, cela me fit rire avant de prendre parole doucement.
- On s'y habitue à la longue, à cette froideur...
Je m'y étais habituée, mais ce qui me rendait le plus triste était la froideur de mon père et des murs du château, une chance que j'avais quelques personnes pour réchauffer ma vie de princesse. Mais reste que j'aurai préférer avoir un père présent...
Breathe.Finwë Gefroy et Elise De GeywishRêvez comme si vous n’aviez rien à perdre, croyez comme si tout était possible, Aimez comme si votre coeur ne connaissait pas de limites, vivez comme s’il avait qu’aujourd’hui. Nous sommes nos choix. Bien malgré ce que j'essaie de dégager comme impression, on voit vite que la gorinn qui est venue s'assoir à mes côtés est là pour mon propre bien être, et non pour le sien. C'est ce que je ressens. Parfois, mes ressentiments sont tous mêlés, surtout par le fait que je n'ai pas vraiment confiance en moi... et surtout, je ne sais pas pourquoi les femmes viendrait aider un homme tel que moi. La raison est simple ; j'ai toujours vécu dans un endroit où les hommes ne servent qu'à faire le gros et sale boulot, et où ils sont simplement les machines à féconder de la population.
Je sens un poids soudain sur mon dos. La jeune fille vient de déposer son manteau sur mes épaules, me faisant sursauter légèrement. J'étais dans mes pensées et je n'ai pas vu la jeune femme le mettre sur mes épaules. Bien malgré le fait que son manteau est visiblement trop petit pour moi, cela me fait une dose de chaleur supplémentaire dans le dos. Un léger sourire s'arque sur mes lèvres alors que la remercie d'une douce et faible voix.
Elle s'assit à mes côtés, avant de me demander si je suis un ondine. J'hoche la tête légèrement sur un signe positif, affirmant donc on origine du même coup. Avant que j'ais le temps de dire quoi que ce soit, la jeune femme s'empresse de se présenter, sous le nom d'Elise de Greywish. De Greywish n'est pas la famille royale de Viermont? Mon regard s'illumine de curiosité.
«Je.... suis Finwë Gefroy... je suis un ondine de Baltoise, vous avez raison...»
Je confirme cela comme ça, du bout des lèvres, avant d'entreprendre rapidement une réponse plus approfondie. Évidemment, des questions brûlent mes lèvres, et je ne peux pas les retenir. Prenant bien le temps de les formuler dans l'ordre que je veux, j'empresse le pas en lançant ma première question, bien formulée. Je ne veux pas avoir l'air pressé, ni manique...
«Seriez-vous pas de la famille Royale de Viermont...? De Greywish... il me semble que c'est le nom de la famille Royale... non? »
Je suis curieux. J'attend clairement sa réponse, et j'espère l'avoir bientôt. Si elle est bel et bien de la famille Royale, ce sera une vraie honneur pour moi de rencontrer la princesse de Viermont. Le fait que la jeune femme se déplace avec une horde de garde armés jusqu'aux dents me confirme presque la réponse moi-même, mais vu le manque de confiance que j'ai envers moi-même, je préfère me rassurer avant de confirmer quelque chose si je suis pour avoir tort. :copyright: 2981 12289 0
Finwë Gefroy
Baltoise
Finwë Gefroy
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Finwë Gefroy
Dim 10 Nov - 18:40
Breathe. Feat. Finwë Gefroy et Elise De Greywish.
«La royauté se forge dans le ventre des femmes, mais le pouvoir qu'elle confère revient aux hommes.»
Puisque j'étais à l'extérieur du Viermont, je profitais de mon moment de liberté pour discuter avec différente personne, comme mon professeur de géographie et d'histoire m'avait déjà dit, le savoir est une source de pouvoir infiniment grande. Je ne connaissai pas grand chose de mon interlocuteur à par que je le fis sursauter en lui déposant mon manteau.
Il me remercia avec un léger sourire, cela me fesait plaisir, le froid m'importunais peu et s'il pouvait réchauffer quelqu'un malgré le fait que je sois petite, cela est une raison de plus pour aider. Mon compagnon se présenta sous le nom de Finwë Gefroy et me confirma qu'il était bien un Ondine de Baltoise. Je pris parole légèrement triste.
- Donc vous êtes prisonniers d'un duché qui vous utilise comme une usine pour faire des descendants...
Quand il avait entendu mon nom de famille, celui-ci semblait bouillir de questionnement, je ne parlai point et le laissa me poser sa question, il semblait réfléchir et formula ainsi sa demande, en me demandant si j'étais de la famille Royale du Viermont... Il croyait que c'était le nom de la famille Royale, il n'avait pas tord, j'aquiesça doucement positivement à sa question et prit parole.
- Vous avez raison, je suis la Princesse du Viermont...
Je ne voulais guère en dire plus de ma vie au château, déja que j'avais dix gardes armés jusqu'au dent et ma protectrice avec moi, cela était suffisant. En tentant de changer légèrement de sujet, je pris parole doucement.
- Dites-moi comment est l'archipel de Baltoise, hormis le fait que les hommes sont soumis, que les humains sont des esclave et que les femmes dominent. L'Archipel ressemble à quoi ?
J'étais curieuse d'en apprendre d'avantage sur Baltoise, savoir les différences avec mon duché, je savais qu'il fesait tout le temps chaud et qu'il y avait pas de neige, que les arbres étaient vert, mais je voulais en connaitre d'avantage.
Breathe.Finwë Gefroy et Elise De GeywishRêvez comme si vous n’aviez rien à perdre, croyez comme si tout était possible, Aimez comme si votre coeur ne connaissait pas de limites, vivez comme s’il avait qu’aujourd’hui. Nous sommes nos choix. Je suis curieux du sang de ma partenaire de solitude, et je veux taire mes origines. De son côté, ça semble tout le contraire. Elle développe très peu le côté où elle parle de sa famille, mais le nombre de questions qu'elle me lance sur mes origines viennent même à m'embarasser. Ne sachant pas par où commencer, je souffle, un léger soupire s'échappant doucement tout en laissant un nuage de fumée fuir de mes lèvres. Mon regard se vide, s'abaisse au feu, mes pupilles dansent avec les flammes qui me réchauffent.
Il est vrai qu'à Baltoise, être un homme est une malédiction. Ce ne sont pas tous les hommes qui sont voués à ce que j'ai personnellement vécu et ce n'est pas toutes les femmes qui maltraitent les hommes... mais nous sommes quand-même majoritairement plus faibles, plus bas que les femmes en société. Après tout, les femmes portent la vie, créent tout avec rien, ce sont eux qui développent la descendance et qui mettent au monde des enfants, des êtres vivants. Les femmes sont des créatures sacrées dignes de déesses. Nous, les hommes, sauf donner notre semance, on ne sert à strictement rien dans cette société vaseuse.
«Il est vrai que les femmes dirigent ce pays. Les femmes portent la vie, elles sont des créatures sacrées. C'est un peu normal, quoi. Ce ne sont pas toutes les femmes qui considèrent les hommes comme des machines à féconder... comme ce ne sont pas tous les hommes qui sont considérés comme des esclaves.»
Mon regard vide s'élève vers la neige qui virvolte sur le fleuve gelé. Un frisson me parcourt le dos alors que je peine à me réchauffer. N'ayant pas beaucoup d'énergie, je préfère de loin la conserver pour retourner au duché par la suite que d'essayer de relever la température de l'air ambiante. Mon regard se retourne donc vers Elise.
«Pour être franc, je ne sais pas comment vous faites pour considérer les femmes comme des moins que rien. Ce n'est pas toi personnellement... mais votre culture est faite comme ça, non?»
Mon regard vague entre ses yeux et le feu, me rapprochant discrètement et légèrement de la chaleur que dégage les flammes. Mes pensées bouillent. Viermont est une société où les hommes, créatures plutôt inutiles, gèrent et où les femmes servent de machine à reproduire. Les hommes de ce pays n'ont aucun scrupule à faire vivre plein d'horreur aux femmes de leur société, leur corps. Ce sont eux qui devraient décider si elles désirent porter un enfant, pas les hommes. Après tous, ce sont les femmes qui portent la vie.
«Baltoise est un archipel plutôt paisible sur les bords... quand on reste hors des villages. Entre les murs du duché et du bourg, ça brasse un peu. Les esclaves sont visibles partout, certaines femmes abusent de leur statut social, et les demi-démons sont des bêtes de foires pendus en publique.»
C'est gore, oui, mais c'est la triste vérité. Si l'on veut une belle vie à l'archipel, c'est hors des villes. Kirgal, dans le pire des cas, est un village paisible et beaucoup moins bordélique que les autres. Néanmoins, j'aimerais mieux rester à l'extérieur de Baltoise que de rester dans ce pays mal foutu. :copyright: 2981 12289 0
Finwë Gefroy
Baltoise
Finwë Gefroy
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Finwë Gefroy
Jeu 14 Nov - 15:31
Breathe. Finwë Gefroy et Elise De Geywish.
«Surtout, soyez toujours capables de ressentir au plus profond de votre coeur n'importe quelle injustice commise contre n'importe qui, où que ce soit dans le monde. C'est la plus belle qualité d'un révolutionnaire.»
Je pouvais ressentir le froid autour de nous, mais cela ne m'affectais pas autant que mon partenaire de sortit et les gardes, puis surtout Karina qui semblait avoir très froid. Je fis un léger sourire triste et de nouveau, je fis quelques gestes par deux fois, une pour augmenter l'intensité de la chaleur du feu, et la deuxième était pour réchauffer l'air ambiante.
Les répercutions de ma magie, n'était pas un problème car cela affectait uniquement ma force physique, j'aperçu Karina, venir rajouter du bois dans le feu, les gardes royaux ainsi que ma servante semblait avoir plus chaud, j'espèrai que mon interlocuteur qui frissonnait depuis le début de son histoire, allait finalement se réchauffer.
Il m'expliqua comment que les femmes dirigeaient Baltoise. Finwë semblait voir les femmes comme des créatures sacrées, car elle donne la vie, donc cela était normal selon lui. Il m'expliqua aussi que ce n'est pas toute les ondines femmes qui considèrent les hommes comme des moins que rien et des esclaves ou des êtres juste utile à procréer. Je pris doucement la parole.
- Je m'excuse, si cela vous embarasses, je suis juste curieuse car les livres n'explique pas comment une personne vie là-bas exactement.
Je trouvai cela injuste, autant sont pays que le mien, au moins, ici à Myrefall, les femmes et les hommes étaient égaux, j'aimerai vraiment que mon futur époux ne pense pas comme les hommes de mon pays. Mon regard d'azure et triste croisa son propre regard et il se voulait être franc, il ne savait pas comment mon Duché traitait les femmes comme des moins que rien, et que ce n'était pas moi personnellement mais ma culture qui était comme cela. Mon regard descendit sur la neige, et je pris parole tristement.
- Malheureusement, ses l'injustice dans le monde des humains du Viermont, je suis vouée à devoir être rien d'autre qu'une chose à leur yeux, qui peux créer des descendants.... Cela est probablement dû au fait que les hommes font tout le travail forçant... je ne peux dire pourquoi ma culture est comme cela.
Je pris une pause, des larmes coulèrent le long de mes joues qui avaient pris un peu de couleur et je repris parole.
- Une descendance ne peux pas être créer sans l'homme ou la femme, il faut les deux, je suis d'accord nous mettons au monde les enfants, mais sans votre semence, nous ne pourrions pas, il faut les deux pour créer un descendant....
Mes larmes coulèrent vraiment plus et mes fines mains se referma sur la neige et celle-ci devint de la glace subitement, j'étais triste et en colère, tout les deux ont vivaient des injustice et cela ne pourrait se règler quand partant de notre pays ou réussir à prendre le thrône et que le peuple nous écoutes, ce qui est encore impossible.
- Je suis désolée Finwë, de votre côté, la reine de ce que j'ai entendu est très forte et domine par la peur... De mon côté, mon père se fou de l'avis du peuple et ne veux pas changer la culture, il est bien ainsi... Il est même froid et distant avec moi, je crois qu'il a honte d'avoir une fille... Il aurait préférer un homme qui puisse prendre le thrône pas une moins que rien qui devra se marier et se taire sous les ordres de son époux.
Mes larmes coulèrent vraiment beaucoup et la glace m'entourai maintenant, j'en avais plus qu'assez de l'injustice des peuples, mais je ne pouvais rien y faire. Finwë me décrivait la vie à Baltoise, en m'expliquant que à l'extérieur du duché et du bourg, la vie pouvait être paisible mais à l'intérieur des murs, les esclaves étaient visible partout, les femmes abusaient de leur statut social et les demis-Démons étaient des bêtes de foire qui étaient pendus en publique.
Cela était affreux et je pris paroles doucement.
- Cela n'a pas vraiment l'air très plaisant, j'espère que vous allez trouver un refuge, je vous aurais bien proposer de venir avec moi au Viermont, mais vous ne supportez pas le froid, j'aurai pus avoir quelqu'un avec qui parler dans les murs froid du château.... Si je réussi à visiter Baltoise, je tenterai de vous trouvez pour parler avec vous... Vous êtes différent des hommes que je connais et j'aime bien vôtre compagnie.
Je le regardai, mes larmes coulèrent le long de mes joues et pour une rare fois j'avais un sourire sincère malgré mon regard triste. J'espèrai ne pas avoir fait peur à Finwë avec la glace, j'annulais mon sort de glace et cela redevint de la neige. Mais mains, se promenaient dans celle-ci inconsciament.
Breathe.Finwë Gefroy et Elise De GeywishRêvez comme si vous n’aviez rien à perdre, croyez comme si tout était possible, Aimez comme si votre coeur ne connaissait pas de limites, vivez comme s’il avait qu’aujourd’hui. Nous sommes nos choix.Mon regard vacille entre les flammes du feu de camp devant nous. Un rapide coup d'oeil vers Elise me permet de voir qu'elle ne va pas bien du tout... Son regard vitreux laisse échapper quelques larmes, ceux-ci fendant la perfection de son visage jusqu'à former des goutelettes sous son menton. Le statut sociale de la femme dans son pays est quelque chose qui semble l'affecter bien plus que je n'aurais su l'imaginer... c'est vrai que c'est difficile de retourner vivre dans un pays pareil après avoir vu le bon temps de Myrefall, mais chacun réagit différemment à ce genre de situation, il faut croire que la magie de la princesse fait partie de ces fameuses réactions.
Pour ma part, j'ai appris à vivre avec les conséquences de mes actes. C'est rendu bien ancré en moi, c'est comme ça que ma société est faite, et le reste du monde n'est qu'un beau rêve magnifique mais Ô combien inaccessible ; si j'arrive à m'évader dans ce rêve, la réalité me rattrapera aussi vite que l'arrivée d'une ondine femelle de mauvaise humeur entre deux courants d'eau. Je me suis donc résigné depuis longtemps à vivre dans ce monde rempli d'injustice.
J'attends patiemment que Elise termine sa phrase avant de me lancer dans ce que je compte dire. Je préfère qu'elle soit prête à entendre la triste vérité. Elle semble tellement sous le choc, déjà, que je ne peux me permettre de lui couper la parole pour en rajouter. Elle termine donc en me disant qu'elle aimerait me ramener au château de Viermont, mais effectivement, je ne tolère pas le froid. De toute manière, je serai poursuivi et je ne serai jamais bien accepté là-bas parmi les siens. Une autre part à cette triste réalité est qu'elle ne pourra jamais visiter Baltoise à sa guise, sans quoi son père risquerait bien de finir au même statut sociale que mes collègues esclaves.
«Baltoise ne saurait vous accepter. Les humains sont vu comme des merdes, et les hommes comme des merdes également ; Bien que votre père est un Roi, il y risquerait sa vie et n'y gagnerait rien du tout à mettre les pieds dans ce pays complètement disjoncté.»
Je soupire longuement, mon regard retournant fouiller les détails du feu de camp. Je ramène mes genoux contre mon torse, me blotissant dans mon manteau et dans le manteau de la jeune femme qui m'accompagne. Mes pensées défilent dans ma tête. Mes souvenirs, majoritairement des mauvais souvenirs, me reviennent rapidement. Après avoir confirmé sur le fait que sa famille serait rejetée avant même de jeter l'ancre au port, je rajoute enfin mes dernières phrases.
«D'ailleurs, je ne me sentirais pas à l'aise chez vous. C'est triste à dire, mais de vivre dans une telle société, quand on la vit au quotidien, ça agit comme un lavage de cerveau. On apprend à entrer dans le moule de la société de sorte que les injustices ne nous dérangent plus.»
Que les injustices ne nous dérangent plus. C'est là le plus gros mensonge que je peux me conter, mais malheureusement c'est la triste vérité. Je préfère cesser de lutter et entrer dans le moule que de continuer de me donner de faux espoirs pour finir complètement démoli à chaque fois. C'est un peu comme mon système de défense, et c'est bien souvent celui de tous ceux qui sont coincés dans la même situation merdique que moi.
«Disons que j'ai appris à entrer dans le moule. J'en ai marre de me faire du tort à force de me faire de faux espoirs... c'est beau rêver, mais la réalité finit toujours par retrouver son chemin.»
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Finwë Gefroy
Sam 16 Nov - 19:27
Breathe. Feat. Finwë Gefroy et Elise De Greywish.
«Originellement nous ne pensons que pour agir. C'est dans le moule de l'action que notre intelligence a été coulée. La spéculation est un luxe, tandis que l'action est une nécessité.»
Mon partenaire me laissait parler, vider mon coeur, cela avait fait un grand bien, je ne sais pas pourquoi je n'avais pas réussi à le faire avant, mais cela retirais un poid de mes épaules. Il est vrai que je ne m'opposais pas à mon père, mais je ne pouvais rien changer.
Une fois que j'avais fini de parler, Finwë prit la parolle en me disant la vérité, que si jamais j'allais à Baltoise avec mon père, nous risquerions de devenir esclave peut importe notre rang ailleurs. Il confirma aussi que son pay était complètement disjoncté.
Je l'entendis soupirer longuement et se blottir plus dans les manteaux. Il semblait perdu dans ses pensée et je ne pouvais pas savoir ce qu'il s'y trouvait. Finwë semblait très réservé et finalement il prit parole, il me dit qu'il ne se sentirait pas à l'aise au Viermont. Que c'était triste mais que vivre dans une telle société sa agissait comme un lavage de cerveau, que l'on apprenait à rentrer dans le moule et que les injustice ne nous dérangent plus.
Foutaise, cela va toujours déranger le monde, c'est juste qu'il faut être plus rusé et fort que les dirigeants et le peuple pour changer le tout. Donc souvent on finit par abandonner notre idée de révolution et on rentre comme il l'a dit dans le moule.
Il reprit parole et qu'il me dit qu'il avait appris à rentrer dans le moule, qu'il en avait marre de se faire du tort à force de se faire de faux espoirs, je pouvais le comprendre sur se point-là, je ne veux pas avoir mal, alors j'obeis même si cela est injuste car comme il continua de dire, c'était beau rêver mais souvent la réalité finit toujours par retrouver son chemin.
Mes yeux regardaient le feu danser et je pris parole tristement.
- Malheureusement, tu as raison sur tout les points, nous devons nous résigner à suivre le moule ou bien, on n'aura aucun moyen de survivre... Je devrais commencer à me chercher un prétendant.... Pour rendre mon père heureux.... même si je ne l'aime pas, au moins, le peuple aura un roi...
Ma volonté c'était éffondré, déja que j'en avais pas beaucoup dû à la froideur de mon père et au fait que celui-ci était distant, j'aimerai seulement qu'il passe un peu de temps avec moi, qu'il m'aime plus.... mais ce rêve était impossible. Le feux vacillait devant nous et la chaleur réconfortante pour les autres, ne l'était pas pour moi... je n'aime pas le chaud, je préfère le froid de l'hiver. Je ne repris point la parole, je restais plutôt dans mes pensée.
Breathe.Finwë Gefroy et Elise De GeywishRêvez comme si vous n’aviez rien à perdre, croyez comme si tout était possible, Aimez comme si votre coeur ne connaissait pas de limites, vivez comme s’il avait qu’aujourd’hui. Nous sommes nos choix.J'ai été très clair. Je ne suis pas du genre à briser les rêves et les idées des jeunes femmes, ni de quiconque, d'ailleurs... mais parfois, la vie est telle qu'elle est, et se mentir peut nous imposer de faux espoirs qui pourraient nous blesser à la longue, et c'est quelque chose que je ne désire pas pour personne. J'ai vécu un faux espoir lorsque j'ai mit les pieds sur Xavaar il y a longtemps... et je me suis retrouvé encore plus encadré qu'avant. La réalité frappe autant qu'un coup de marteau en pleine tronche.
Les dires de la princesse me laisse rapidement croire que je l'ai brisée, ou que je tiens à démolir ses rêves. Ce n'est pas le cas, ce n'est pas mon but, ni mon désir. En fait, je suis désolé. Désolé que la réalité frappe autant une jeune femme qui rêve. Je jette un coup d'oeil rapide à la jeune femme aux cheveux pâles qui semble s'être recroquevillée dans ses pensées.
«La vie est faite comme ça. Rien ne nous empêche de fuir, et se retrouver quelque part, où la paix et l'égalité régnera... mais nous devrons rester ensemble. Tous ceux qui veulent la paix. Tous les êtres de toutes les races qui veulent sortir de leurs sociétés toxiques.»
Je suis tellement désolé de lui avoir brisé ses idéaux que je cherche un message d'espoir. Mes mots ne sont pas sincères puisque je me suis convaincu depuis longtemps que la vie dans une société comme celle-là est celle que l'on nous impose. J'appuie ma tête sur mes genoux, me blottissant encore plus dans le manteau que j'ai question de chercher un once de réconfort, chose difficile à obtenir dans le froid glacial de ce pays.
«Si on veut s'enfuir, il faudra travailler ensemble pour survivre, pour nous protéger. Si on veut s'en aller, il faut couper les ponts à jamais avec notre passé. Je suis prêt à le faire, mais je me suis fait avoir par le passé.... donc je crains toujours de réessayer...»
J'ai fui, et je me suis fait attrapé par les miens. J'ai peur que cela arrive encore. Peut-être on me dira qu'il ne faut pas se fier à une expérience négative du passé. Peut-être que ça ne se passera pas comme ça, cette fois. Il y a tellement de possibilités différentes sur ce qui pourrait se passer. La chose qui me fait le plus peur, si la princesse prend mes conseils au sérieux et qu'elle décide de s'enfuir, c'est la fille du Roi... ce qui risque d'être plus difficile à cacher, et elle sera grandement recherché... non pas pour la ramener morte ou vivante, mais on risque de retrouver des avis de disparition un peu partout...
«As-tu déjà pensé à t'enfuir.... en tant que... princesse?»
Messages : 105 Écus : 3523 Date d'inscription : 13/10/2019 Âge : 75 ans Origine : Faubourg de Masseraule, à Baltoise Emploi : À voir
Finwë Gefroy
Jeu 21 Nov - 17:27
Breathe. Feat. Finwë Gefroy et Elise De Greywish.
«"Le sort étant sous le hasard, l'homme, ignorant auguste, doit vivre de façon qu'à son rêve plus tard, la vérité s'ajuste." Victor Hugo»
Les paroles de mon partenaire de feux, m'avait non seulement détruite, mais m'avais aussi fait réaliser que je ne pourrais pas fuir mon titre et mes obligations. J'allais décidément finir comme une moins que rien qui allait devoir écouter son époux que je n'aimerais pas. Je vais devoir enfanter plusieurs fois, pour créer la descendance. Je devrais me plier à toute les volontés du futur roi sans rien dire.
Finwë pris la parole, cela me sortie légèrement de mes pensée, je l'écoutais d'un oreille et il me disait que la vie était fait comme cela, que rien nous empêchait de fuir et d'aller quelque part ou la paix et l'égalité régnera. Mais pour cela nous devrons rester ensemble. Tous ceux qui veulent la paix. Tous les êtres de toutes les races qui veulent sortir de leur sociétés toxique.
Je savais qu'il voulait me remonter le moral ou me donner espoir, mais malheureusement cette idée, était une utopie impossible à réaliser. Même à Myrefall tout n'est pas magnifique... Je haussais les épaules et pris parole légèrement.
- Cette idée est une Utopie que personne ne pourrait réaliser, sans que les guerres et la haine entre les peuples soit disparue.
Je m'étais déja résigner, il y a longtemps sur le fait que je ne serais jamais libre malgré les injustice, je savais aussi que toute les paroles que Finwë disait pour me réconforter était vide de sincérité, cela se ressentait. Je poussais un léger soupir de soumission.
Il prit de nouveau la parole en disant que nous pouvons s'enfuir, mais qu'il faudra travailler ensemble pour survivre, pour nous protéger. Si on veut partir, nous allons devoir couper les ponts à jamais avec notre passé. Il était prêt à le faire, mais il ses fait avoir par le passé et maintenant il craint de réessayer. Je peux le comprendre, j'ai toujours tout reçue, je ne serais même pas capable de survivre seule à l'extérieur, donc encore moins protéger quelqu'un qui est avec moi. Je pris parole tristement.
- Malheureusement, je ne serais même pas en mesure de survivre, la vie enfermer au château, ne m'à pas appris ses compétences... Comment pourrais-je me protéger et protéger mes compagnons, si je ne suis même pas capable de le faire pour moi-même.
Je ne voulais pas être pessimiste mais cela était la simple vérité. Mon père avait tout fait pour éviter que je sors, après tout je suis sa fille née Gorinn, je suis pas humaine, je ne peux pas être de lui. Il ne me regarde même plus, ne porte plus attention à moi. Il doit me détester et cela doit expliquer le fait qu'il est froid et distant avec moi.
Finwë brisa de nouveau le silence en me demandant si j'avais déja pensé à m'enfuir en tant que princesse. Je poussais un léger soupir et répondit tristement.
- Tous les jours depuis les six ou huits dernières années....
Je me recroquevilla un peu plus sur moi-même, ma mère était partie et elle me manquait, le manque d'amour parternelle rendait les couloirs, les murs, et l'enceinte du château froid et difficile d'y être heureuse. Depuis que Karina est ma servante, elle fait son possible pour me rendre heureuse mais ce n'est qu'éphémère. Mes paroles étaient basse et remplie de tristesse.
- Ma mère.... me manque....
Les larmes perlèrent de mes yeux et coulèrent le long de mes joues. Pourquoi ne m'avait-elle pas amené avec elle. J'étais si seule au château, Karina ne restait pas tout le temps à mes côté, elle avait aussi le droit à sa propre liberté. Je voulais simplement être aimée de mon père. Trouver un époux qui ne me prendrais pas pour une génitrice et que j'allais aimé de tout mon être.... Mon chevalier en armure blanche... je pris parole du même ton que l'autre phrase.
- La liberté est éphémère... Même pour moi....
Je regardais le feu danser, mes yeux humide le rendais flou, je voulais partir loin, très loin de ce château et de mon père mais au moment ou je sortirais de l'enceinte de la ville, j'aurais toute la garde à mes trousses pour me ramener, car après tout je suis la pour créer les futurs nouveau roi...
Breathe.Finwë Gefroy et Elise De GeywishRêvez comme si vous n’aviez rien à perdre, croyez comme si tout était possible, Aimez comme si votre coeur ne connaissait pas de limites, vivez comme s’il avait qu’aujourd’hui. Nous sommes nos choix. Comme j'ai été stupide. J'ai osé lui demander si elle avait déjà, par le passé, penser de s'enfuir de son village et du château, en tant que princesse. Certes, elle l'a sûrement déjà fait. D'ailleurs, la liste de trucs décourageants qui ont précédé cet affirmation ne m'a guère enchanté, la dépression me pend au bout du nez. Elle a essayé, et elle a longtemps rêvée, cette jeune feme... mais malheureusement, elle est aujourd'hui enfermée dans une vie qu'elle n'apprécie guère, la chance et la vie ne lui souriant guère. La vie de prince ou de princesse ne semble pas du tout avantageuse, et surtout dans un pays où ton rôle sera d'assurer simplement une descendance, au péril de tes propres rêves.
Mon regard désolé se pose finalement sur la jeune femme à mes côtés alors que celle-ci élève la voix doucement. Les mots parlent d'eux-mêmes ; elle parle de sa défunte mère. Du moins c'est ce que j'en crois selon ses dires, et la façon dont elle en parle. Mon regard attristé remarque particulièrement les perles qui coulent sur ses joues, et mon coeur se sert. La princessse me semble tellement malheureuse... il y a tellement de choses que j'aimerais faire pour l'aider mais je n'en suis point capable vu mon statut sociale. Mon regard s'abaisse donc vers le feu qui sautille plus joyeusement que nos âmes.
«Désolé d'avoir ramené un tel sujet.»
Je me sens coupable de ses sentiments actuels... comme on m'a toujours poussé à me sentir coupable des sentiments malheureux des femmes de mon pays, ou même de mon entourage en général. Un léger soupire s'extirpe de mes lèvres alors que j'enfonce ma tête dans mes genoux, recroquevillé dans la neige.
«D'une certaine façon... que serait la vie, sans rêve?»
Mon regard est perdu, mes mots ne font possiblement aucun sens pour la jeune femme... mais un message d'espoir en reste un, et peut-être que mes mots auront leur impact un peu plus tard dans sa vie, lorsqu'une telle opportunité s'offrira à elle. Qui sait, peut-être ce jour viendra-t-il plus vite que nécessaire. Ma voix s'élève encore, doucement, basse, mais assez forte pour surpasser les décibels qu'émet le feu qui pétille.
«On a qu'un vie. L'idéal serai d'en faire ce qu'on souhaiterait. Meme si tu assures que ces idéaux ne sont que des utopies éphémère pouvant emmener de mauvaises surprises, il ne faut pas s'arrêter de vivre pour cela. Sincèrement, je pense de plus en plus fuir Baltoise... mais je crains toujours autant les représailles que cela pourra engendrer...»
Fuir Baltoise, pour une deuxième fois. Évidemment, si j'arrive à passer au travers sans me faire attraper cette fois-ci, tout ira pour de mieux... mais pour se faire, je dois me faire des contacts un peu partout, chose qui me permettra de me protéger si jamais les ondines me retrouvent. Vivre comme une machine à féconder ne me plaît pas du tout, c'est peu dire ; si j'avais le choix entre cela et fuir, ma décision serait prise depuis tellement longtemps.... reste à voir si j'aurai un jour le courage de tourner le dos à ces femmes malsaines, et un jour vivre une vie que j'espère heureuse. :copyright: 2981 12289 0
Finwë Gefroy
Baltoise
Finwë Gefroy
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Finwë Gefroy
Sam 30 Nov - 16:15
Breathe. Feat. Finwë Gefroy et Elise De Greywish.
«"On vit au milieu de fantômes ; on rêve au lieu de vivre." -Citation de Simone Weil»
La vie de princesse était guère intéressante, surtout dans le duché de ma naissance, probablement que le prince ou la princesse de Myrefall à une meilleure vie. Ici, les femmes et les hommes sont égaux et je ne suis pas juste regarder comme un morceau de cerf qui peut produire leur descendance, ou bien leur servir à assouvir leur plus puril acte sans ce soucier si j'ai aimé ou pas.
Je pouvais sentir le regard de Finwë sur moi pendant que mes larmes coulèrent car ma mère me manquait. Je ne crois pas qu'elle soit morte, mais plutôt qu'elle s'est enfuis pour arrêter d'être maltraîter par mon père. Si seulement je pouvais réussir à prendre place sur le thrône et changer la façon de voir les choses de mon peuple. Je sais que cela ne serai pas facile mais au moins, les femmes de mon peuple vivraient mieux.
Mon partenaire de feu de camp, s'excusait d'avoir ramené le sujet de ma mère, il ne pouvais pas savoir qu'elle était partie et que celle-ci me manquait. Cela n'était pas de sa faute au contraire, parler avec lui me retirais un certain poids qu'au fils des années j'avais accumulé. Je pris parole doucement en essuyant mes larmes.
- Vous ne pouviez pas le savoir. Mais cela m'à permis de retirer un léger poid de mes épaules.
Je pris une respirations légère et repris parole doucement.
- Voyez-vous, celle-ci est partie du château quand j'étais jeune, dans les alentours de mon sixième ou huitième aniversaire, mes souvenir sont flou sur cette évènement. Merci de m'écouter et de ne pas me juger, cela est fort apprécié et m'aide beaucoup.
Je ne pouvais dire les vrais sentiment de mon partenaire mais il semblait refermé sur lui même comme s'il avait fait quelque chose de mal. Probablement dû à la domination majeure des femmes sur l'archipel. Il prit parole en disant que d'une certaine façon, que serait la vie sans rêve.
Il n'avait pas tord, si nous ne rêvons pas, cela nous tuerais à petit feu et le désespoir s'emparerait de nos âmes puis finalement nous serions comme les morts que les nécromanciens contrôle, une coquille vide dépourvue d'ambition. Je pris parole doucement.
- Les rêves nous aides à survivre les épreuves que les dieux place sur notre route.
Bien que je fesais semblant de prier Nather, celui-ci avait quand même une légère influence sur moi, car j'ai été élever par son code. Mais je préfère prier Oktar pour qu'il me protège de la vie misérable que l'homme que j'épouserai allais me faire vivre.
L'ondine fixait le feu et il me contait aussi que nous avions qu'une vie. Que l'idéal serait de faire ce que nous en voulions. Même si j'assurais que les idéaux d'un peuple égalitaire était une utopies éphémère pouvant causer des mauvaises surprise, il ne fallait pas que nous arrêtions de vivre pour cela. Il pensait sincèrement à fuir Baltoise de plus en plus. Mais il craignait les représailles que cet acte pourrait engendrer. Je pris parole calmement.
- J'aimerais bien m'enfuir de Viermont, de ma vie royale... Pour vivre simplement, sauf que de mon côté, ses plus le fait que je ne pourrais pas fuir. Les gardes me retrouverais immédiatement et me ramèneraient. De plus, j'ai aucun endroit ou fuir, mon visage est majoritairement reconnue.
J'aimerais vraiment fuir loin, très loin de mes devoirs, mes problèmes, mon père, un peuple mécontent. Je ne pouvais qu'espérer que tout cela se réalise. Parfois j'en rêvais, je rêvais qu'un beau chevalier avec son armure blanche et son étalons fort et puissant m'amène loin et me traite comme son égale, pas un morceau de viande ou une créatrice d'enfant. Je pris parole doucement.
- Voulez-vous aller nager dans le fleuve ? Je pourrais le réchauffer pour vous, je n'y vois aucun inconvénient. Je ne fais que perdre ma force physique et comme je suis pas une combattante, cela m'importe peu.
Je lui fis un sourire, peut-être que le fait qu'il pourrait nager lui remonterait le moral et me rendre utile pour lui serrait un honneur, puisqu'il m'a écouté parler de ma triste histoire et de mes problèmes. J'aimerais qu'il puisse se sentir bien quelques instant.
C'est paisible comme moment, n'est-ce pas? Vos pensées vous envahissent, la solitude vous ronge sachant que vous devrez éventuellement vous séparer pour retourner dans vos pays, dans deux côtés opposés de Myrefall. Le silence règne, si ce n'est quele tintillement des armures de la garde Royale plus loin derrière qui se fait discrètement entendre, ou encore le feu qui pétille joyeusement devant vous.
Brassez un dé 20. Le résultat décidera de ce que vous aurez à affronter. Lisez la mise en situation qui s'apparentera à votre résultat et réagissez en conséquence.
de 16 à 20:
Une voix étouffant des cris de panique perce le silence de la forêt. Des pas raisonnent dans la neige qui craque sous ses pieds alors que la course folle le fait bêtement trébucher contre une racine qui traîne au sol. Visiblement paniqué, l'homme ignore carrément la garde Royale qui tente de comprendre ce qui se passe, regardant le jeune homme tomber à nouveau dans la neige, rampant et tentant de s'échapper d'on ne sait trop quoi. Évidemment, plutôt que d'essayer de comprendre, la garde Royale se met en défense immédiatement, prête à protéger la princesse si un attaque a lieu. L'homme en question se retrouve le derrière sur la glace aux abords du fleuve, visiblement apeuré par quelque chose. «Merde, merde merde!! Putain protégez-moi j'veux pas mourir...!!!! Il me court après, il veut me tuer j'en suis sûr! Je... Protégez-moi je vous en pries!!!!»
de 11 à 15:
Le tintillement de l'armure des membres de la garde Royale se font bien vite enterrer sous des bruits bien plus forts, comme si une masse de métal se rapproche de l'endroit où la scène se déroule. Les dix gardes royaux se mettent rapidement devant vous, se préparant donc à vous protéger en cas d'attaque. Des bruits de sabots s'entremêlent bien vite avec les métaux se frappant l'un à l'autre. Vos regard capturent bien vite, au travers des gardes Royaux devant vous, les collègues de ceux-ci ; dix autres personnes portant les couleurs de la garde Viermontoise se rapprochent rapidement de la scène. On peut apercevoir la barbe poivre et sel de Sa Majesté de Greywish, un regard peu entousiaste au visage. Ce dernier immobilise son cheval, comme ses neuf gardes. Ceux déjà présents s'inclinent, s'éclispent et laissent le chemin libre au Roi pour lui permettre de se rapprocher de sa fille. «Elise, ma fille. Que fais-tu ici, avec tous les dangers qui peuvent te guetter.... avec un inconnu du bas peuple en plus? Tu sais ce que je t'ai déjà dit avec les inconnus? Et.... ton manteau, sur ses épaules..! Jeune homme, retire-moi ça maintenant et rend les vêtements à ma fille !»
de 6 à 10:
Un individu se rapproche de l'endroit où la scène se déroule. Un couteau à la main, un regard attentif, un homme ressemblant étrangement à un voleur se fraye un chemin pour se rendre jusqu'à vous. Il a réussi à passer la garde royale, ceux-ci étant un peu trop occupé à parler ensemble pour se rendre compte qu'un individu silencieux s'était délicatement faufilé sur la scène. La lame froide d'un couteau se pose contre le dos de la jeune femme alors qu'il la saisit de son autre main par l'épaule. L'homme camouflé sous d'épais vêtements n'était pas reconnaissable, mais ce dernier semblait savoir qu'Elise est une princesse. Sa voix s'élève donc légèrement. «Tu me donnes tous tes bijoux de valeurs, jeune fille, sinon tu peux dire au revoir à ta vie. Toi, l'ondine, ne bouge pas sinon je la tue.»
de 1 à 5:
Vous entendez un fort bruit provenant de l'eau. La glace craque violemment dans un bruit sourd et lointain. Vous voyez les glaciers se séparer lentement, laissant l'eau remonter à la surface. Un mauvais présentiment vous guette, et avec raison ; quatre grandes ombres aqueuses sortent la tête de l'eau, lentement, s'avançant peu à peu vers la rive. Les corps liquides semblent se solidifier, conservant une teinte de peau bleutée, des cheveux azurés ou blanchâtre, et un regard malsain se fait voir sur leur visage. Dans les quatre cas, on peut percevoir les courbes de corps féminins se former devant vous. Une voix rugueuse, peu rassurante s'élève de l'une des quatre ombres : «Finwë...... Prévoyais-tu réellement t'enfuir?»
Messages : 28 Écus : 3446 Date d'inscription : 08/10/2019 Âge : L'âge est celle de l'univers. Origine : Je viens de partout, et de nul part. Emploi : J'accomplis les tâches basique de la vie.
Influence des Dieux
Dim 1 Déc - 19:53
Let's do this.
Finwë Gefroy
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Finwë Gefroy
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Finwë Gefroy
Dim 1 Déc - 19:53
Le membre 'Finwë Gefroy' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'D20' : 19
Grand Prophète
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Grand Prophète
Dim 8 Déc - 13:08
Breathe.Finwë Gefroy et Elise De GeywishRêvez comme si vous n’aviez rien à perdre, croyez comme si tout était possible, Aimez comme si votre coeur ne connaissait pas de limites, vivez comme s’il avait qu’aujourd’hui. Nous sommes nos choix. Je la regarde, je l'écoute. Celle-ci décline clairement mes invitations, ainsi que la majorité de tout ce que j'ai pu essayer de lui dire pour lui remonter le moral. Son idéaux est déjà fait ; elle ne compte pas s'enfuir, cela ne sert à rien puisqu'elle sera pourchassée jusqu'à ce que les gardes du Roi l'ait retrouvé. Cette jeune fille est toute jeune, mais trop terre-à-terre. Elle n'a plus de rêves, elle se les détruit toute seule avec son pessimisme. Mon regard se retourne lourdement vers le feu, soupirant lentement alors que celle-ci s'empresse de me demander si j'ai envie de nager dans le fleuve. Je ramène mon regard sur elle presque immdiatement, les questions me venant rapidement à l'esprit.
«Euh...»
À vrai dire je ne m'attendais vraiment pas à ce qu'elle me demande une telle chose, et je ne sais pas quoi répondre. Mon regard se retourne rapidement vers l'eau, puis vers la jeune femme. Je soupire lourdement, me blotissant dans mes propres bras alors que mon regard revient vers le feu, lentement. Le tracas me hante et l'inconfort tire les traits de mon visage...
«Je ne veux pas te déranger pour.....»
J'intercepte moi-même ma phrase. Des pas arrivent vers nous, je les entend raisonner dans la forêt. La neige grinçant sous ses pas, son souffle court et paniqué, c'est visiblement une personne qui fuit quelque chose. Cessant toute activité, je me redresse rapidement, me relevant et regardant dans la direction contraire à laquelle nous regardions pour me préparer à toute éventualité. Les gardes de la princesse se mettent également prêts à intervenir, ce qui me soulage un peu concernant cela ; je ne serai pas seul à me défendre. Mon coeur se serre, mon corps se réchauffe rapidement pour la température extérieure actuelle. Je vois l'homme arriver en courant, trébucher sur des racines. Tentant de l'intercepter, l'homme se faufile entre les gardes royaux, se retrouvant tout bonnement les fesses à l'eau.
«Bordel mais qu'est-ce qui se passe?????»
Suite aux dires du jeune homme visiblement traumatisé par quelque chose. les gardes royaux se mettent très rapidement en défensive, regardant la provenance du jeune homme pour se préparer à une éventuelle attaque. Alors que les hommes se préparent à nous protéger, je m'emparais de ce court instant pour me rapprocher de l'homme en question, qui ne cessait de balbutier des mots peu compréhensible sous la panique.
«Écoute-moi, respire. Dis-moi ce qui te pourchasse pour que l'on puisse savoir quoi chercher....»
Sa panique me fait presque paniquer aussi. Je peine à garder mon calme, mon regard fuyant cherche désespérément quelque chose à surveiller. Est-ce un être vivant, un monstre? Un a animal? Je ne sais pas. Les gardes non plus ne le savent pas, mais dans leur cas il leur serait utile de savoir ils ont affaire à quoi, cela faciliterait notre tâche de le protéger... et protéger également la princesse. J'attend encore la réponse de notre compagnon d'infortune, restant près de lui pour l'empêcher de s'aventurer trop près de la rive du fleuve. :copyright: 2981 12289 0
Finwë Gefroy
Baltoise
Finwë Gefroy
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Finwë Gefroy
Lun 9 Déc - 15:31
Breathe. Feat. Finwë Gefroy et Elise De Greywish.
« " J'aimerais savoir peindre un cri comme Bacon, ou bien la peur, ce quelque chose qui me fige et me rend si vulnérable. Peindre la peur si précisément que je puisse la toucher, et ainsi la rendre inopérante, l'effacer, l'annuler de ma vie " -Citation Tahar Ben Jelloun »
Je savais que je réfutais toute les tentatives d'invitation à rêver, mais j'ai appris jeune à laisser mes rêves de côté et d'obéir le plus fidèlement possible. Bien que, pour le moment, je suis dans ma phase de rebellion. La froideur que mon père me donnait, ainsi que le fait qu'il soit distant, me rendait folle de rage.
Ma proposition semblais laisser mon interlocuteur sous silence, il ne devait pas s'attendre à se faire proposer cela. Je lui souriais gentiment et il prit parole pour me dire qu'il ne voulais pas me déranger pour... Sa phrase fût arrêter sec. Des bruits de pas rapide qui fit grinçer la neige sous celui qui courrait.
Mon regard se tournais vers la forêt, un homme au souffle court courrait dans notre direction visiblement effrayé, il ne fit même pas attention à mes gardes royaux ou même à ma noblesse. Je poussais un soupir de soulagement, quelqu'un qui porte pas attention à mon titre finalement. Mes gardes se positionnèrent vers la forêt et Karina près de moi.
L'homme trébuchais pas juste une fois mais bien deux, la première ce fût sur des racines, la deuxième fût derrière mes gardes et cet homme avait les fesses à l'eau. Finwë semblait se demander la même chose que moi... Que se passe-t'il, pour que l'homme panique. Je poussais un léger soupir et prit parole d'une voix authoritaire.
- Garde ! Formation défensive, ne laisser aucune créature ou être vivant vous passer.
Mon regard d'azure se tournais vers Finwë et l'homme, je me relevais doucement, l'homme qui paniquais et était traumatisé par on ne sait quoi, balbutiais des mots très peu compréhensible, il semblerait qu'il soit pourchassé. Je ne pris pas de risque et laissais l'homme temporairement à Finwë.
Je fis quelques gestes, Karina avait vite compris que j'allais lancer un sort, probablement au risque de m'évanouïr et se plaçais au cas ou cela arriverait. Une fois mon incantation gestuelle finie, deux grands murs de glace se levaient de la neige de chaque côté de mes gardes et le bas du mur avais des lances de glace pointa vers l'extérieur pour empaler la chose.
Je soupirai, tout en me dirigeant avec misère vers Finwë et l'homme, je n'avais pas compris ce que l'Ondine lui avait dit et je m'agenouillais près d'eux. Mon souffle était court, ma vision était légèrement troublé. Un léger contrecoup d'un sort intermédiaire mais si je pousse encore, je vais m'évanouïr. Je pris parole de peine et de misère en regardant Finwë puis l'homme.
- Vous devriez vraiment nous dires ce que vous fuyez.... Finwë, il se peut que je tombes dans les pommes, à ma ceinture j'ai une rapière, si jamais cela arrive, prenez-là pour vous défendre... Karina va veillez sur moi.
J'étais épuisée, j'avais beaucoup utiliser de magie déja, je fixais l'homme d'un regard léger et un peu vide, j'étais trop épuisée pour paniquer, ma voix résonnais de nouveaux.
- Par Okar, voulez-vous bien respirer et nous raconter votre histoire.
L'homme me était légèrement énervant car non seulement, il nous demandait de le protéger, mais il ne fit pas non plus d'effort de vouloir se défendre, quel genre d'homme était-ce. J'espèrais que ce qui se cache dans la forêt ne soit pas trop horrible et que mes gardes réussirais à se défendre.
Ceux-ci fixait la forêt, bouclier et épée à la main, près à se défendre, le froid gagnait quelque peu mon corps, qui était faible, je devais me reposer. Je fis signe à Finwë d'amener l'homme proche du feu, cela serais plus simple. J'espèrais que l'homme allait donner sa réponse rapidement.
L'homme ayant percé la défense que les gardes ont montés, il s'est faufilé entre vous pour s'écraser au sol, en panique. Évidemment, les troupes étaient présentes et prêtes à défendre les trois innocents gens présents sur place, mais quel genre de menace pourrait bien effrayer la pauvre victime à ce point? Il est dur de le savoir en avance... à savoir si la bestiole le suivait toujours. Évidemment, comment la bestiole réagira?
Pour se faire, brassez deux dés vingt faces, et regardez le résultat pour voir ce que vous devrez affronter. Le premier résultat déterminera la bestiole à affronter, et le deuxième résultat sera sa réaction.
de 18 à 20:
Malgré toute attente, rien ne se produit. Ce qui pourchassait l'homme a rebroussé chemin sans se pointer devant vous. Le silence règne, et le calme revient dans l'esprit de l'homme qui s'était élancé devant vous. Le deuxième résultat est donc inutile.
de 13 à 17:
Un animal ressemblant drôlement à cela vous approche, délicatement, vous regardant comme si vous étiez un spécimen de foire. Il s'immobilise à une dizaine de mètre des gardes.
14 à 20:
L'animal se barre en courant en voyant le mur de glace se dresser devant lui. Prit de peur, il part en coassant et en tentant de voler, sans succès vu l'absence de ses plumes.
8 à 13:
L'animal bizarre regarde, et reste là, et ne démontre aucune violence. On pourrait presque se rapprocher pour voir quel genre d'animal il s'agit, et peut-être pourrons-nous tenter de l'étudiers...
1 à 7:
L'oiseau, violent, se rapproche de vous dangereusement. Tapant du bec très fort, vu sa grande taille, il vous faudra trouver solution rapidement avant que les gardes se fassent projeter....
de 7 à 12:
Vous entendez un gros grognement au loin. De ce grognement s'en suivent deux autres un peu plus loin. Vous voyez donc trois grands loups, les crocs bien sortis, se rapprocher de vous. Menaçants, offensifs, ils ont l'air de vouloir se venger de quelque chose.
11 à 20:
Les loups entendent le bruit des armures, et après avoir montré les dents et après avoir vu la quantité de gens présents sur place, décident de tourner et s'enfuir en courant.
1 à 10:
Les loups hurlent. Ils tentent donc d'emmener les leurs auprès de vous, et passent rapidement à l'attaque, s'élançant vers les hommes en armures.
de 1 à 6:
Deux assassins se pointent donc rapidement sur place, tombant face aux hommes hautement armés. Ces assassins se tiennent à une distance certaine, sortant arc et flèches visiblement empoisonnés. Ceux-ci tirent les flèches sur les cibles, rapidement.
16 à 20:
Les assassins manquent leur coup et les flèches frappent soit les boucliers des gardes, soit elles divaguent de leur trajectoire.
11 à 15:
Les flèches percent les armures des gardes, les blessant donc tout en perçant leurs armures.
6 à 10:
Les flèches passent au travers des armures et frappent l'homme à vos pieds, l'homme qui les fuyaient.
1 à 5:
Les flèches passent entre les armures des gardes et frappent l'un des deux, que ce soit Elise ou Finwë.
Messages : 28 Écus : 3446 Date d'inscription : 08/10/2019 Âge : L'âge est celle de l'univers. Origine : Je viens de partout, et de nul part. Emploi : J'accomplis les tâches basique de la vie.
Influence des Dieux
Sam 14 Déc - 22:10
Here we go.
EDIT: Chiasse.
Finwë Gefroy
Baltoise
Finwë Gefroy
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Finwë Gefroy
Sam 14 Déc - 22:10
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Grand Prophète
Dim 22 Déc - 11:10
Breathe.Finwë Gefroy et Elise De GeywishRêvez comme si vous n’aviez rien à perdre, croyez comme si tout était possible, Aimez comme si votre coeur ne connaissait pas de limites, vivez comme s’il avait qu’aujourd’hui. Nous sommes nos choix. Mon regard virevolte entre la garde devant nous, les murs autour de nous et l'homme à nos côtés qui ne fait que paniquer. Le tout ne m'aide vraiment pas à me calmer, et sincèrement, plus le temps avance, pire c'est. Le suspens que nous offre la situation est à peine soutenable, le stress me hante à un point comme jamais. Je me redresse finalement de toute ma grandeur, déposant le manteau de la princesse sur l'homme au sol tout en tentant de regarder au travers les gardes. C'est difficile de voir entre eux, mais pas impossible. Leurs boucliers prennent bien de la place, mais encore, tout dépend du genre de créature que nous aurons à affronter... leurs boucliers ne pourront rien faire contre un monstre.
Mon regard capture finalement deux têtes, plus loin. Ceux-ci sont armés visiblement d'arcs et de flèches, pointant ceux-ci sur nous. Elise utilise déjà sa magie de glace pour nous protéger, les gardes sont devant nous, mais malheureusement, contre les flèches, cela prend de la chance pour les esquiver... surtout que les deux têtes devant nous semblent être habitués de travailler avec cela. Mon regard se retourne rapidement vers Elise avant de retrouver les deux intrus du regard. Les flèches tirées, avec chance, ceux-ci sont rapidement déviés de leur trajectoire par les boucliers. Ils n'ont pas lancé les flèches dans le bon angle pour percer notre défense, heureusement pour nous.
«Merde.... ces salauds.... »
Elise ne doit pas les voir, vu sa taille.... son visage donne parfaitement dans le mur de métal que les gardes font, alors que je peux facilement voir par dessus. Ceux-ci sortent deux autres flèches de leur carquois. L'homme au sol à nos côtés est toujours en panique, suppliant le bon dieu de ne pas le laisser mourir. Tentant de l'ignorer pour ne pas perdre concentration, je chuchotte mes incantations, laissant une grande bulle d'eau se former autour de mes deux ennemis principaux... une boule d'eau au centre vide, évidemment, enfermant donc là-dedans les deux assassins.
«Ils ne nous feront pas chier longtemps...»
Chuchottant encore quelques incantations rapides, c'est deux secondes que cela a prit pour solidifier la bulle d'eau, en formant de la glace. Les deux assassins sont à présent enfermés dans une grande prison de glace. Mes chuchottements deviennent des mots audibles, de plus en plus fort, alors que l'intérieur des murs de la prison se transforment en murs d'aiguilles et de pièces pointues. Les aiguilles de glace se referme sur eux lentement au fil de mes incantations, pour finir par les transpercer de tous bords d'un coup, les tuant sur-le-champ. Jouant encore de la longueur des pièces pointues, je m'assure de leur mort en les transperçant une deuxième, puis une troisième fois.
«Soyez morts.»
Ces deux mots finissent le tout, alors que la glace se dissipe, devenant de la neige qui s'en va en virevoltant au gré du vent, laissant deux corps grandement mutilés au sol, visiblement morts. Le poids de cette glace se retire donc rapidement de mes épaules, me retournant vers l'homme derrière nous. Pris d'étourdissements, je me rapproche de l'homme, pose un genou au sol, passant cette faiblesse pour un attention certaine que j'apporte à l'homme encore un peu en panique.
«Ça va, ils sont morts. Les corps sont là, si tu veux les voir. Dame de Greywish, si vous pouvez parler avec lui, ce serait bien. Je suis curieux de savoir ce qui a conduit ces hommes-là à l'attaquer.»
Pour ma part, je me relève, passant au travers de la barricade d'hommes en armure qui bouchait encore l'entrée de la coquille de protection avant de m'avancer vers les deux corps inerte au sol. Après une brève vérification, j'ai pu me confirmer moi-même le décès de ces deux assassins. Je fouille rapidement les corps. Les flèches sont visiblement empoisonnés, et ils avaient donc réellement le but d'assassiner cet homme. Je découvre également, au fil de mes recherches, plusieurs couteaux voué à la spécialisation de l'assassinat, le tout bien dissimulé sur eux. Ils étaient armés jusqu'aux dents. :copyright: 2981 12289 0
Finwë Gefroy
Baltoise
Finwë Gefroy
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Sam 9 Nov - 9:41
