Petit repos à la Taverne Feat. Elise De Greywish et Araki Mao.
«Quoique de fort noble naissance, il avait contracté sous le harnois plus qu'une habitude de soudard. La taverne lui plaisait, et ce qui s'ensuit.»
Habit décrits dans le texte:
Le bal avait été une belle soirée, j'avais dansé comme je n'aurais jamais danser auparavant. J'avais même fait une rencontre merveilleuse, un jeune Gorinn du nom de Mao. Celui-ci m'avait tellement complimenté que j'en avais rougis et que j'avais eu chaud pendant plusieurs moments. J'avais remonté dans mes quartiers assignés la vieille du bal et Karina était épuisée. J'en profitai alors pour me changer d'accoutrement.
Je pris un chandail noir avec des attache d'or, qui coupait juste en haut de ma poitrine et laissait paraitre une partie de mon ventre, pour le bas, j'avais des pantalons noir avec la bordure en or au niveau de mes hanches. Mes cheveux long et gris furent attaché en queue de cheval avec un ruban, des bandages recouvrait une partie de mes mains et le seul bijoux que je gardais était mon pendantif avec un crystal bleu. Je plaçai par dessus tout cela une cape blanche avec une capuche qui recouvrait mon visage question de ne pas me faire reconnaitre., pour mes souliers, se fût de longue botte brune d'aventurière que je pris.
Une fois prête, la partie la plus risquer arrivait, je devai sortir du château sans me faire voir, je pris mon temps et fini par réussir mon coup de justesse, à peine sortie, un garde passait sur la muraille du château et ne me prêta pas attention puisque je n'étais plus dans le périmètre du château. Je marchais pour trouver une taverne, peu importe laquelle, je devais surtout éviter celle ou que les nobles allaient.
Je réussi enfin à trouver une place, les lumières était allumé, des bruits de gens qui parle et qui s'exclaffe retentissait, cela me rendait un peu heureuse de voir que le peuple ici semblait plus heureux qu'au Viermont. Je rentrai dans le bâtiment calmement et quelques personnes ce tournaient pour me voir mais recommença leur jeux ou leur conversation.
Je me dirigea vers le tavernier et lui demandai calmement un verre de vin et lui donna l'argent en le remerciant. Mes pas allait vers une table pour deux personnes qui n'avait personne et je m'y suis assise. J'espèrai vraiment que mon père ne remarque pas ma sortie nocturne, de toute façon, il devait dormir comme une bûche avec tout ce qu'il dû avaler. Je buvais mon vin calmement et le fesant tourner dans le verre parfois.
Les conversations, semblait vraiment intéressante et tous semblait placer leur roi sur un pied d'estale contrairement à mon duché ou que le peuple insultait mon père. La soirée avançait et heureusement pour le moment je ne voyais personne que je connaissais.
« L'homme bien préparé au combat est à moitié vainqueur. »
- Proverbe espagnol
Je rentrai d’avance à l’auberge où j’avais loué une chambre. Je pris une douche pour enlever les effluves de sueur plusieurs heures à danser avec les femmes qui s’étaient pointées au bal. Après avoir épongé mes cheveux mouillés avec la serviette, je les secouai pour les espacer et les laisser friser pendant qu’ils sèchent.
Je rangeai le bordel de la veille et mes vêtements de bal se retrouvèrent dans un tiroir. Je plaçai quelques chandeliers sur les commodes et un petit bouquet de roses rouges sur la table de chevet. Je m’assurai que les coussins, les oreillers et les draps ne montrèrent aucun signe d’activité antérieure.
J’enfilai un chemisier vert forêt dont l’encolure échancrée laissait paraître mes pectoraux imberbes. Il était juste assez ajusté pour attirer l’attention des demoiselles. Mes jambes se faufilèrent dans des pantalons marron, attachés par une ceinture noire tressée. Des bottes de cuir noir vinrent compléter l’ensemble.
Je me regardai dans le miroir. Je remuai encore mes cheveux pour stimuler les boucles commençant à apparaître avec l’humidité qui s’enlevait des cheveux, leur enlevant ainsi de la pesanteur. Une touche discrète de parfum floral se fit sentir pour agrémenter l’accoutrement.
J’étais enfin satisfait de mon accoutrement, espérant que mes efforts portent fruit. Pas que ça n’ait pas marché, ce qui serait faux de ma part, mais là… Je m’apprête à franchir une nouvelle étape dans les ligues plus élevées! Une princesse est une conquête plus raffinée que les autres. Je dois être à la hauteur.
Je sortis de la chambre sans bruit et barrai la porte pour éviter la présence de visiteurs fortuits et inopportuns. Je m’avance près de la rambarde de l’étage afin de voir si mon hôte était arrivée. Je ne reconnus point ses traits, alors je descendis et me dirigeai vers le comptoir du bar. J’abordai l’aubergiste pour lui commander du pinot de Charentes. Je regardai encore et aperçût une jeune femme encapuchonnée sirotant du vin, seule. Mon verre à la main, je m’approche nonchalamment de sa table.
- Excusez-moi, mademoiselle! Puis-je m’asseoir à vos côtés? Un être si joli ne devrait être isolé. Qui sait qui peut rôder dans les parages… Je ne saurai vous imaginer en présence d’individus mal intentionnés. Je serais choyé de pouvoir passer ces quelques moments avec vous… En espérant que vous partagiez les mêmes sentiments!
Araki Mao
Viermont
Araki Mao
Messages : 126 Écus : 3518 Date d'inscription : 14/10/2019 Âge : 16 Origine : Grimael Emploi : Homme à tout faire
Araki Mao
Mar 5 Nov - 7:03
Petit repos à la Taverne Feat. Elise De Greywish et Araki Mao.
«C'est l'incertitude qui nous charme. Tout devient merveilleux dans la brume.»
Le vin de l'auberge n'était certainement pas le meilleur, mais pour une taverne du peuple, cela était suffisament bon pour mon doux palais. Malgré le fait que j'eu danser toute la soirée avec différent type d'homme, mon parfum à la lavande fesait encore effet.
Mon regard d'azure et teinter de cette tristesse constante épiait la salle qui était pleine de monde, parfois s'amusant au carte, d'autre fois au échec. Certain d'entre eux, se parlait et d'autre dansait. Il y avait aussi un groupe d'homme saoul, heureusement, ils ne m'ont pas approché, je n'aurai pas aimé devoir les retourner à leur place ou créer une dispute.
Le temps passait, j'étais probablement à mon deuxième ou troisième verrre de vin que je sirotais calmement quand mon regard aperçu Mao. Un homme charmeur qui n'avait cesser de me complimenter, il était habillé plus simplement, signe qu'il ne venait point de la noblesse, sinon il n'aurait pas loué une chambre dans une taverne du peuple et serait dans celle des nobles.
Je rougis légèrement en repensant à comment il me courtisait, aux différentes danse que nous avons fait. Je m'assurai que mon capuchon couvre bien mon visage pour pas être reconnue. Mes mains qui avaient des bandages pour couvrir et me donner un aspect plus aventurière déposa le verre de vin. J'observait le jeune Gorinn descendre avec son chemiser dont l'encolure échancrée laissait paraître ses pectoraux imberbes ce qui me fit légèrement rire, de plus, le dit chandail était ajusté pour attiré l'attention des autres femmes, du moins, c'est ce que je croyais car plusieurs demoiselles le regardaient descendre rouge comme des tomates.
Pour ma part, j'étais légèrement rouge de gêne et j'espérais surtout de ne pas rencontrer de garde royaux de Viermont ici, car sinon je risquais d'évoquer la colère de mon père. Mais cela serais très surprenant car normalement, ils ne quittent pas mon père.
Je fûs sortie de mes pensée par Mao qui d'une voix assuré s'excusa et me demandait s'il pouvait s'asseoir à mes côtés. Je lui fis signe qu'il pouvait et il continuait sa magie charmique en me disant qu'un être aussi jolie ne devrait pas être isolé. Que l'on ne savait pas, ce qui pouvait rôder dans les parages et que celui-ci ne saurait m'imaginer en présence d'individus mal intentionnés. Je ris légèrement à la mention de cela mais ne dit rien pour l'instant. Il continuait avec le fait qu'il serait choyé de pouvoir passer ces quelques moments avec moi en espérant que je partageai les même sentiments.
Si seulement il saivait ce que mon père lui ferait, si jamais il osait vouloir aller dans le pieux avec moi ou bien de me courtiser sans être noble. Je répondis doucement en tentant de changer le plus possible ma voix, ce qui n'était pas évident car il n'existait pas de cercle de magie pour cela.
- Vous êtes un gentleman.... Je suis ravie qui vous voulez passer du temps avec une simple aventurière. J'espère être de bonne compagnie !
Je pris une légère pause et pris une autre gorgée de mon vin et repris parole doucement dans le même ton de voix.
- Pour ce qui est des individus mal intentionnés, n'ayez crainte sir, ils m'auraient laisser tranquille.
Je tentais de paraître sûre de moi et qu'il ne découvre pas tout de suite qu'il avait la princesse de son duché devant lui. Je pris la peine de poser une question sans trop être précise et avec le même ton de voix modifier le plus possible.
- Votre présence était-il lié au bal du centenaire que le Roi de Myrefall organisait ?
Je déposai mon verre de vin doucement et sans faire de bruit, je ne pouvais retirer les lessons de noblesse que j'avais reçu et cela me jouerais probablement contre moi. Mon regard d'azure fixait le jeune homme de sous ma capuche en attendant de voir sa réaction.
« La volonté sait bien rarement résister à l'attrait du plaisir ; on veut toujours ce que l'on aime, mais il y a souvent du danger à aimer ce que l'on veut. »
- Alfred Auguste Pilavoie
Mon regard se tourna autour et lança quelques clins d’œil sentis aux dames présentes. Je m'assis en face de l'aventurière. Son allure m'était familière, mais je ne saurais me rappeler où je l'avais vue. Mes yeux cherchaient les siens sous cette capuche sombre.
- Ma présence est-elle liée au bal du centenaire? Bien sûr! Les rumeurs courraient que ce serait un événement important! Je ne pouvais penser le manquer. Mais très chère, vous camouflez votre visage! Comment puis-je reconnaître mon interlocutrice si je ne puis l'identifier. Par contre, votre parfum...
Je pris une pause pour prendre le temps d'en savourer l'odeur.
- J'ai l'impression de l'avoir déjà senti… Et récemment même! Votre voix est si mielleuse. Pourquoi essayez-vous de la changer?
Je la contemplai et puis lui dit tout doucement :
- C'est fou le mystère que vous dégagez, habillée de la sorte! Vous me donnez envie d'en apprendre davantage à votre sujet. Êtes-vous venue pour le bal egalement? Qui êtes-vous? Que cachez-vous derrière ces apparats qui dissimulent vos traits que je suppose très charmants dûs à l'élégance de vos gestes? J'imagine que vous n'êtes pas du coin ni que vous avez l'habitude de fréquenter des gens d'humble naissance comme moi-même et ceux qui nous entourent.
Je soupirai longuement.
- Que puis-je faire pour vous combler et percer cette énigme que vous êtes? Je me languis de votre présence. Aidez-moi à mieux vous connaître.
Araki Mao
Viermont
Araki Mao
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Araki Mao
Mar 5 Nov - 15:42
Petit repos à la Taverne Feat. Elise De Greywish et Araki Mao.
«L'homme ne rêve pas de la femme parce qu'il la trouve mystérieuse ; il la décrète mystérieuse pour justifier son rêve d'elle.»
J'observais Mao qui lança des clins d'oeil aux dames présente, donc il était probablement un chameur de ses dames. Il c'est finalement assis devant moi, son regard semblait chercher quelque chose de familier, ou bien, il cherchait mes yeux en dessous de ma capuche. Je pris parole doucement tout en laissant la modification que j'apportais à ma voix.
- Vous devez être un de ses charmeur de dames, de ce que je peux voir.
Il répondit à ma question de si sa présence était lié au bal du centenaire, celui-ci me répondit qu'il était ici pour cela et que selon les rumeurs c'était un évènement important. Sur ce point là, il avait tout à fait raison et il continua en disant qu'il ne pouvait penser le manquer. Il me demanda aussi pourquoi je cachais mon visage, comment pouvait-il reconnaître la personne avec qui celui-ci parlait s'il ne pouvait pas l'identifier.
Il s'arrêta sur mon parfum, il semblait prendre une pause pour en apprécier l'odeur. Il reprit parole et confirma l'avoir déja senti, récemment en plus. Mais quel idiot, j'ai fait exiprès de ne pas l'enlever et en plus, nous avions danser pendant de longues heures ensemble collé. Il me complimenta sur ma voix mielleuse et pourquoi j'essayais de la changer.
Celui-ci me contemplait et me dit tout doucement que c'était fou le mystère que je dégageai avec mon acoutrement, espérant qu'il n'ait pas remarquer mon collier de la même couleur que mes yeux, je tentais de la cacher du mieux que je pouvais sous ma cape. Il continuait à me disant qu'il voulait en apprendre d'avantage sur moi et me questionna si j'étais venu pour le bal, ce que je cachai sous ces apparats qui dissimulait mes traits que celui-ci supposait charmants dûs à l'élégance de mes geste. Il s'imaginait que je n'étais pas du coin et que je n'avais pas l'habitude de fréquenter les personnes d'humble naissance, il n'avait pas tord. Je pris parole doucement et toujours en modifiant le plus possible ma voix.
- Non je ne suis pas venue pour le bal, mon parfum, plusieurs nobles doivent l'utiliser, ses probablement la raison que vous le reconnaisser. De plus, si je porte ses habits et modifit ma voix, cela est probablement dûs au fait que je n'ai pas le droit d'être à Myrefall.
Je lui avais mentis car je ne voulais pas rien risquer pour le moment sans savoir s'il serait prêt à risque sa vie.Il soupira longuement, j'en profitai pour boire un peu dans mon verre de vin. Puis il reprit, en me demandant ce qu'il pourrait faire pour me combler et percer l'énigme que j'étais, il se languissait de ma présence et il voulait que je l'aide à mieux me comprendre. Je repris parole toujours doucement en modifiant celle-ci.
-Pour le mystère, seriez-vous prêt à risquer votre vie ?
Si seulement, il savait ce qu'il risquait si mon père apprenait que j'étais ici à cette heure et en plus avec un homme qui n'était pas de noble ligné, il lui couperait probablement la tête et je serais probablement enfermé dans ma chambre sous quadruple surveillance. Je repris parole sous la même voix.
- Voici une énigme, si vous avez bon, cela vous aidera à savoir qui je suis. - Il mord comme le plus sauvage des loups, et pourtant il est intangible. - Il rougit la peau comme le fer chaud, et pourtant il est invisible.
L'énigme dévoillait ma place natale, et probablement la sienne aussi car de ce que je sais, il n'y avait pas de Gorinn à vivant à l'extérieur du Viermont. Mon regard se déplaçait dans la salle, je scruptais pour voir s'il n'y avait pas de garde de mon père ou autre personne pouvant me reconnaître, pour le moment, j'étais hors de danger.
Je sirotais mon vin en observant Mao de sous ma capuche. J'étais légèrement inconfortable en dessous de mes pantalons car avec tout les compliments et son charme, il ne me laissait point indifférente et j'étais très humide en bas... Mais je devais résister, je devais rester pucelle jusqu'au mariage arrangé, sinon je n'avais plus de valeur...
« Il suffit d'un sourire pour nous dévoiler, d'un mot pour nous peindre. »
- Anne Barratin
Un sourire coquin en coin apparut sur mon visage. J'ai vite compris que la princesse ne voulait pas s'afficher, du moins peut-être pas dans cette salle à la vue de tous, dévoilant ainsi son identité en fuyant mes questions et en y répondant vaguement.
Qu'elle me parle de risquer ma vie pour la deviner? Franchement! La femme mérite qu'on se consacre à elle à tout prix peu importe les conséquences qui en résulteront. Elle est trop importante pour qu'on la mette de côté, malgré ce que diraient les gens de mon pays.
- Vous êtes perspicace. Il est vrai que j'en ai charmé plus d'une. Certes, la femme est un être irrésistible qui réveille mes sens et qui m'allume au point d'avoir de la difficulté d'y résister. Cependant, ce n'est pas pour les raisons que vous pensez. Oui, il est plaisant de... me réchauffer le pieu, comme vous dites, mais je suis en mesure de le stimuler par moi-même également. Je ne cherche donc pas à le faire pour le plaisir, même s'il survient en cours de route.
Je m'arrêtai de parler un moment. Tout en examinant mon comparse, je fis tourner l'alcool dans mon verre et en pris une gorgée que je sirotai. Je déposai mon verre sur la table.
- J'avais déjà deviné votre parfum, il est impossible de l'oublier. J'espérais que vous vous démasqueriez de votre propre volonté. Je me rappelle avoir dansé avec vous au bal. Une demoiselle mérite qu'un homme fasse tout pour son bonheur.
Je me levai de table, poussai ma chaise et me mis à côté de la jeune Gorinn. Je lui tendis la main galamment.
- M'accompagneriez-vous à l'étage? J'ai espoir que je puisse vous faire sourire et je désire qu'on puisse passer du bon temps ensemble. Il me semble que vous êtes un peu tendue dans cette pièce. Au moins, nous aurons l'avantage de l'intimité et que personne ne nous dérangera.
Je me baissai à son niveau et lui soufflai tout bas à l'oreille :
- Quiconque vient de notre contrée sait comment le froid fait des ravages en Grimaël. Jamais auparavant, je n'en ai subi d'aussi forts que ceux générés par les sentiments que vous réveillez en moi et que je n'aurais pu croire exister... Princesse! Vous êtes plus miroitante que toutes les dames que j'ai rencontrées.
Araki Mao
Viermont
Araki Mao
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Araki Mao
Mar 5 Nov - 22:42
Petit repos à la Taverne Feat. Elise De Greywish et Araki Mao.
«L'envie et la sottise bien souvent cheminent de compagnie.»
La taverne devenait de plus en plus active et les gens s'amusaient surtout en ayant de la boisson gratuite. Les cries de joie, les rires, la rage des perdants au jeu, l'ambiance était vraiment présente mais j'étais surtout inquiète de voir du monde que je connaissais rôder dans la taverne.
Mon interlocuteur eu un sourire coquin en coin, qui apparut sur son visage, était-il moins idiot que je le pensai, il devait probablement avoir deviner qui j'étais, j'évitais des questions simple et je déformais ma voix.
Il me répondit que j'étais perspicace, et qu'il était vrai qu'il en avait charmé plus d'une. Pour lui nous somme un être irrésistible qui réveille ses sens et qui l'allume au plus au point qu'il en avait de la difficulté à résister. Si seulement, il savait à quel point j'avais de la difficulté à me retenir de lui offrir mon jardin privé.
Il répondit aussi qu'il était plaisant de se réchauffer le pieu, mais ce n'était pas la raison majoritaire car il était capable très bien de le faire lui même, il ne recherchait pas le plaisir même si cela arrivait en cours de route. Je me mordis la lèvre inférieur pendant qu'il arrêtait de parler, je finis rapidement mon vers de vin ou du moins ce qu'il en restait.
En déposant délicatement mon verre sur la table, je remarquai qu'il déposait son verre en même temps. Il repris parole, en me disant qu'il avait déja deviné mon parfum qui était impossible d'oublier et qu'il espérait que je m'aurais démasquer par ma propre volonté. Si seulement il connaissait les risques que je prenais à sortir ainsi. Il se rappellait d'avoir dansé avec moi au bal, mes joues prirent une teinte légèrement rougeoyante en me rappellant tout les éloge qui m'avait fait lors de nos danse. Il continua en disant qu'une demoiselle méritait qu'un homme fasse tout pour son bonheur. Je prit parole légèrement.
-Malheureusement, les hommes du Viermont ne pense pas tous comme cela, vous devez être une exception.
Puis il se leva et poussait sa chaise et vint proche de moi, il me tendait sa main galamment, en me demandant si je l'accompagnerais à l'étage, car il avait espoir de me faire sourire et qu'il désirait passer du bon temps ensemble, car je semblais tendu. Sur ce point, il avait raison, je devais à tout pris éviter d'être reconnue. Il me dit que nous aurions au moins l'avantage de l'intimité et que personne ne nous dérangera. Mes joues devenais brûlante, je sais que je devrais me tenir tranquille jusqu'à temps que je sois promise mais j'avais envie de lui, une attirance qui depuis le bal, ne cessait de me tourmenter, je ne comprenais pas pourquoi j'étais autant attirée par lui,
De plus, avant même que je lui donne une réponse, il se pencha à mon niveau et me soufflai tout bas à l'oreille, ce qui me fit frémir, que quiquonque qui vient de notre contrée sait comment le froid fait des ravages en Grimaël. Donc il avait trouver la réponse à l'égnime, je restais figée légèrement, je n'étais pas habituée à se genre de comportement et il continuait de parler en disant que jamais auparavant, il en avait subi d'aussi forts que ceux qu'il générait par les sentiment que je réveillais en lui et qu'il n'aurais pu croire que ceux-ci existait. Il m'appella par mon titre... en plus, Il continuait en disant que j'étais la plus miroitante de toutes les dame qu'il avait rencontrées.
Je ne répondis pas, plus par gêne mais ma main se déposa dans la sienne, en signe d'approbation de le suivre à l'étage, je pourrais au moins retirer ma cape la haut et éviter de mourrir de chaleur. Avec son aide, je me levai tranquille et replaça ma chaise. Je ne le regardai pas car mes joues étaient encore en feu et ma région privée, était vraiment humide que cela en était déplaisant ou gênant. À part, Karina personne avait réussi à me faire autant d'effet.
Probablement que la suite des choses allait être plus intéressante que prévue, et je priais discrètement à Oktar pour qu'il me protège et le protège, ainsi nous allons probablement avoir un peu plus de chance. Son visage semblait familier un peu comme si je me regardais dans une glace mais avec les cheveux et yeux d'une couleur différente et qu'il était un homme.
J'avais déja entendu des rumeurs, sur le fait qu'il existait des personnes qui se ressemble sans être affilié par le sang, cela était peut-être le cas pour nous ? Du moin, je le laissai me guider vers sa chambre.
« La brièveté de la jouissance est quelquefois récompensée par la qualité du plaisir. »
- Baltasar Gracian
Je guidai la belle à l’étage jusqu’à la chambre. Je débarrai la porte et la poussai. J’invitais ma compagne à s’immiscer dans la modeste pièce. Je pris des allumettes et me promenai de chandelle en chandelle pour leur offrir une flamme. Je les rangeai et emmena la demoiselle vers le lit. Je m’y assis en l’observant calmement et la conviant à faire de même.
- Ne vous inquiétez pas. Tout se passera bien. Je vais vous choyer comme le bijou que vous êtes.
Je percevais un lien subtil entre nous deux comme je n'avais jamais eu avant avec aucune autre femme. Pour une fois, j'étais comblé avant d'avoir assouvi mes bas instincts. C'est étrange et agréable en même temps. Je sentais une profondeur comme il est rare d'en développer en relations et encore moins au premier contact, même si je connais le visage de la princesse de mon royaume depuis longtemps sans l'avoir rencontrée auparavant ni fréquentée de quelque façon que ce soit.
Ma main s'approcha doucement de ses cheveux dans lesquels je glissai mes doigts. Mes yeux scrutaient chaque parcelle de son être. Ma respiration s'accélérait. La fébrilité s'emparait de moi. Mon corps se pencha vers elle. Mon front se colla au sien. La tension était palpable.
-Je ne veux pas vous froisser en aucun cas. Et si nous profitions du moment comme s'il n'y avait pas de lendemain? Ce qui se passe entre nous pourrait être notre secret…
Mon autre main caressa son bras en montant jusqu'à sa nuque que je commençai à embrasser. Ma bouche se promena langoureusement sur ses épaules, puis son visage. Je savourais le moment. Enfin, je pouvais permettre à mes pulsions d'avoir lieu.
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Araki Mao
Mer 6 Nov - 15:31
Petit repos à la Taverne Feat. Elise De Greywish et Araki Mao.
«La fascination qu'exerce un être sur un autre ne provient pas de ce qu'exhale sa personnalité à l'instant de la rencontre. C'est de la somme de tout son être que se dégage une drogue puissante capable de séduire et d'attacher.»
Je me laissais guider par mon partenaire, un sentiment de confiance envers lui était présent, malgré le fait que je ne le connaissais que depuis le bal. Je le regardais débarrer la porte de sa chambre et il m'y invita à rentrer, ce que je fis, la pièce était modeste et non luxurieuse comme j'en avait l'habitude, pendant que Mao allumait les chandelle, je continuais de scrupter la pièce, le lit semblait bien basique, peu de place de rangement et surprenament, il y avait un bain, ce qui était très rare dans les tavernes du peuple.
Un léger sourire se pointa sur mon visage quand l'aperçu ranger ce qu'il avait utilisé pour allumer les chandelles, j'aurai pu le faire, grâce à ma maitrise du feu mais le jeune Gorinn, ne connaissait pas mes talent magique. Je retirais ma cape et la déposa proche du lit car celui-ci m'y invita et je le rejoignie, n'étant plus camoufler, mes long cheveux gris était attaché en queue de cheval par un ruban noir, mon collier bleu azure, allait de paire avec mes yeux. Mon linge était vraiment banal et montrait beaucoup plus de peau que ce que mes robes dévoillais. Je retirais les bandages de mes fines main et les déposait avec ma cape.
Il m'observait pendant que je retirais les accesoires que je n'avais plus de besoin, mes joue étaient encore en feu et il prit la parole quand je fûs assise prêt de lui en me disant de ne pas m'inquiéter et que tout allait bien se passer, qu'il allait me choyer comme le bijou que j'étais. Alors il me comparait à un bijoux maintenant. Je pris parole de ma voix normale et doucement.
-Je ne savais pas que j'étais aussi priécieuse qu'un bijoux, je suis sûre que vous me placer sur un trop grand pied d'estale.
Il y avait ce je ne sais quoi entre lui et moi, comme un lien qui nous unissait, je n'avais jamais ressentie cela auparavant, c'était comme si le vide que je ressentais était remplis. Cela était étrange mais en même temps avec les belles paroles et mon désirs qui étaient présent, cela pouvait être normal. Mais ce que je ne comprenais pas c'étais que je ne connaissais pas cette homme avant mais ce lien était plus fort que celui que j'avais avec Karina.
Je soupirai légèrement, mes pensées se bousculait tous et quand il approcha doucement sa main de mes cheveux et qu'il y glissa ses doigts, un frisson me parcouru et cela n'était pas tout, ses yeux me scrutaient chaque parcelle de mon corps. Ma respiration s'accélérait et je remarquai que la sienne aussi. Le fait qu'un homme me touche délicatement comme cela était rare, il se pencha vers moi, accélérant de nouveau ma respiration et mes joues étaient bouillante, son front maintenant collé au mien, je pouvais sentir son souffle sur moi et je devais probablement être folle de faire ce que nous allions faire... Mais j'en avais envies et les pensées que mon père nous surprennent ensemble disparurent.
Il prit parole, mon regard le fixa et tenta d'identifier les prochains mouvement qu'il ferait. Il me dit qu'il ne voulait pas me froisser et me proposa de profiter du moment comme s'il n'y avait pas de lendemain. Ce qui se passerai pourrait être nos secret. Je prit parole doucement et avec ma respirations accélérée, mes mots sortait saccadé.
- No...tre... se...cret...
Je ne pensais plus, mon coeur voulait briser ma poitrine et la chaleur et l'humidité d'en bas était vraiment intense, je n'avais jamais ressentit autant de désir pour une personne en dehors de ma protectrice. Sa autre main commençait à caresser mes bras, les frissons était revenue, sa main arriva à ma nuque dans un temps que je trouvais vraiment long et soudainement, il commençai à embrasser ma nuque et un petit gémissement de surprise et de soulagement sortie de ma bouche. Ses lèvres douce descendirent de ma nuque vers mes épaules, puis vint se loger contre mes lèvres, je prolongeai le baiser le plus longtemps possible.
Je sais que cela n'est pas respectable et que je désobeissait à ma noblesse de donner ma virginité à un homme du peuple, mais présentement cela ne me dérangeai pas, tout en continuant de l'embrasser, j'embarqua par dessus lui en étant face à face, mes mains étaient sur son visage pendant que je continuais de l'embrasser, ce moment était merveilleux et plaisant, je me sentais complète. Je pris la parole après ses long baiser.
- Je... te... dés..ir...
Ma respiration était tellement rapide que j'avais de la difficulté avec les mots, et la seule chose que je voulais, c'était qu'ont ne soit qu'un même si le moment ne durerais par longtemps au moins j'aurai profiter avant de devoir retourner dans le château glacial et ennuyant. Je repris parole toujours aussi saccadée.
Il devait déja ressentir mon excitation, je n'avais par rien qui bloquait contrairement à mes robes, la chaleur et l'humidité de mon jardin secret devaient se faire ressentir au travers de nos pantallons, une de mes mains restait sur son épaule pour me donner un soutient tendis que l'autre se promenait sur son torse imberbe. Pendant que je déplaçai ma main, mes yeux était fixés dans les siens, son visage familier, se lien si fort qui me déboussellait, je ne comprenais plus rien et me laissai aller avec l'ambiance et mes envies, normalement je n'écoutes pas Nather mais en ce moment je dois avouer qu'il guidait mes geste.
« La brièveté de la jouissance est quelquefois récompensée par la qualité du plaisir. »
- Baltasar Gracian
J’étais au paradis. Je venais de vivre l’apogée de ma vie de plaisirs… charnels. Ce moment resterait longtemps dans ma mémoire… En plus, je venais que caresser un rêve, un fantasme que je ne m’étais jamais avoué, soit de m’acoquiner avec une dame de la noblesse et, qui plus est, une princesse! Elle s’était mise de la partie et je n’avais pas fait tout le « travail » seul. Que dis-je? Agrémenter les pulsions aurait été plus approprié. Une femme dont les mains jouent avec mon outil a de quoi me rendre béat.
Elise s’est blottie contre moi, la tête sur mon torse, la main déposée à côté et une jambe par-dessus la mienne. Nous profitions du moment présent, nos corps se calmaient. Elle insistait pour que ce soit un secret et soupira.
- Je croyais que ce l’était déjà. Ça rend le tout plus excitant, plus précieux.
Je continuai de caresser son bras et ma main libre vint prendre la sienne qui était proche de sa tête. Je déposai un baiser sur son front, puis respirai profondément.
- Y a-t-il quelque chose qui vous tracasse?
Je pris une pause pour lui donner le temps de réfléchir et de répondre si le cœur le lui disait.
- Et si nous nous arrangions pour se voir de temps en temps au Viermont? Je pourrais vous montrer tellement de places et d’activités qui y a lieu. Je fais même partie d’expéditions à l’occasion. Qui sait? Peut-être aimerez-vous ce que nous pourrions faire…
Araki Mao
Viermont
Araki Mao
Messages : 126 Écus : 3518 Date d'inscription : 14/10/2019 Âge : 16 Origine : Grimael Emploi : Homme à tout faire
Araki Mao
Jeu 7 Nov - 21:20
Petit repos à la Taverne Feat. Elise De Greywish et Araki Mao.
«La crainte est quelque chose de plus profond que le courage.»
Nos ébats avaient durer je ne sais combien de temps, mais pendant ce temps-là, je me suis sentie bien et aimée. Je n'oublirais pas les sensations que Mao m'avait donner et surtout le fait que j'avais de la difficulté à marcher. Donc, j'avais opter pour m'allonger contre lui. Nos corps chaud était plaisant, nos odeurs et nos effluves, c'étaientt mélangée. Je pouvais sentir mon parfum sur lui, comme si je l'avais marqué, en espérant que personne me le vole.
Je le plaignais un peu, étant blottie contre lui, mon nectar mélanger au sien s'échappait peu à peu de mon entre-jambe, mais bon cela fesait partit du jeu de l'amour. Nos corps, se calmaient tranquillement. J'étais bien dans ses bras, mais je trouvais étrange d'être aussi lier à lui sans jamais l'avoir rencontré avant le bal.
Il prit parole et me rassurai que cela resterais secret et que ça rendait le tout plus excitant et précieux, je le regardais avec mes yeux qui était remplie de larme. Pourquoi n'était-il pas noble, il aurait fait un bon prétendant malgré le fait qu'il soit un charmeur de ses dames, mais en même temps mon père aurait refuser car Mao est un Gorrins et il déteste cette race. Je ne répondit point à sa réponse, et redéposa ma tête sur son torse pour écouter le rythme de son coeur, cela retirais un peu mon insécurité.
De son bras libre, il continuait de me caresser le bras et sa main libre vint prendre la mienne qui était sur son torse. Je sentis un baiser sur mon front puis mon partenaire respirait profondément, me demandant si quelque chose me tracassait. Plein de chose me tracassait, mais c'était surtout par rapport à mon père. Je pris parole avec les yeux encore rempli d'eau.
- Ce qui me tracasse mon cher est la simple réalité, je vais devoir me marier à un homme que je n'aimerais pas et qui me prendra que pour une génitrice.
Je pris une légère pause pleurant encore et tentant de reprendre mon souffle pour faire une phrase correcte et je repris parole.
- De plus, si jamais mon père apprend que nous fesont un acte sexuel, il vous tuera et je perdrais toute valeur à ses yeux, déja que j'en ai pas beaucoup...
Il m'avait laisser répondre et par après, il me proposait de continuer de se voir de temps à autres une fois rentré au Duché. Il me fit rêver, en me disant qu'il serait capable de me montrer plein de places et d'activités qui y avait lieu. Il me dit qu'il fesait aussi partit d'expéditions à l'occasion. Mao me dit que j'aimerais peut-être ce que nous pourrions faire, je lui souris tendrement en répondant tout aussi doucement.
- Si c'est comme ce soir, j'aimerais bien...
Je venais d'avouer sans avouer que je l'aimais bien et avec un léger mouvement de bras, j'éteignis quelques flammes de chandelles en laissant qu'une pour avoir un peu plus de noirceur et d'intimité. J'avais un bon contrôle de la magie et je n'avais plus besoin d'incanter, je replaçai ma main dans la sienne et me blottit légèrement plus contre lui. Pas que j'avais besoin de chaleur mais j'aimais beaucoup sa présence et je ne comprenais pas pourquoi, comme si Mao et moi ne fesions qu'un seul et unique être mais en deux personnes différente.
« Naît-on deux fois? Oui. La première fois, le jour où l’on naît à la vie; la seconde fois, le jour où l’on naît à l’amour. »
- Victor Hugo
Je sentis sa main bouger légèrement. Soudainement, les flammes des chandelles diminuèrent et l’éclairage se tamisa. Je compris que je venais de tomber sur une mage élémentaire qui manipule le feu.
J’écoutais Élise me partager son tracas. Je m’attristais à voir que sa vie lui déplaisait et qu’elle n’était pas traitée mieux qu’un bibelot et ne deviendra, une fois mariée, qu’une simple machine à fabriquer des héritiers royaux. Je venais enfin d’apprendre le risque que nous courrions si nous nous faisions attraper à s’adonner aux plaisirs charnels en dehors des liens « sacrés » du mariage qui ne sont qu’une prison dorée, au même titre que le palais pour la princesse.
- Si nous nous gâtons à nouveau comme ce soir, nous devrions nous arranger pour que ce soit dans divers endroits que nous varions occasionnellement ou à chaque fois. Les chemins pour s,y rendre peuvent aussi changer.
Je m’arrêtai un moment et me rappelai quand elle me parlait d’un mariage arrangé par son père, le roi. Ce que je réalisai me frappa de plein fouet. Perdu dans mes pensées, je regardai Elise en la tenant encore dans mes bras.
- Pendant que j’y pense… Avez-vous bien dit que vous saurez maintenant à quoi ne pas vous attendre avec votre potentiel époux si des épousailles s’organisaient pour vous? Le roi est-il si horrible qu’il vous élève dans ce but? Sinon j’aurais deux hypothèses qui pourraient s’appliquer, soit vous avez déjà expérimenté et senti cela d’autres partenaires ou soit… que vous étiez pucelle?
Après une respiration et un soupir profonds, je repris la parole.
- Si tel est le cas, pourquoi avoir accepté mon invitation? Pourquoi moi?
Mes sentiments étaient mitigés. Je me sentais honoré qu’elle m’ait choisi pour sa première expérience, mais ça aurait pu mal se passer pour elle. Assouvir ses désirs doit quand même se faire dans le respect des individus impliqués. Je me sentais coupable aussi, car elle aurait s’offrir à un futur amoureux avant que nous l’expérimentions ensemble et différemment qu’avec son ce dernier. Je la serai plus fort contre moi et collai ma tête sur la sienne.
Araki Mao
Viermont
Araki Mao
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Araki Mao
Ven 8 Nov - 22:10
Petit repos à la Taverne Feat. Elise De Greywish et Araki Mao.
«Vivre sa vie de cette façon, c'est croire réellement que la vérité existe, sur une terre où la vérité est ce qui rapporte et le mensonge ce qui ne rapporte pas: un choix inexplicable. Et les autres se sentent donc en difficulté, mis à nu par le regard de celui ou celle qui a renoncé aux règles de vie commune qu'ils ont acceptées en bloc. Des règles auxquelles on obéit toute honte bu, car au fond c'est ainsi qu'il doit en être, c'est ainsi qu'il en a toujours été: nul ne peut tout changer par ses seules forces, il vaut mieux les économiser, suivre le droit chemin et vivre comme on nous autorise à le faire.»
Je repris contrôle sur mes larmes, car ceux-ci ne coulèrent plus et Mao m'avait écouté pendant que je partageai mes problème. Je n'aimais pas la prison froid et distante que mon père avait établi, ainsi que les règles qui soumette les femmes comme des moins que rien. Je n'étais point une exception même en étant sa fille, je n'hériterai pas du thrône royale, sa va être mon futur époux qui va avoir le contrôle et moi je devrais me contenter d'écouter ses moindre désir et d'assurer une descendance pour le bien du royaume.
Mon partenaire prit la parole en me disant que si nous allons nous gâter comme ce soir, mieux vallait que nous varions les endroits et les chemins prit pour éviter que l'on se fassent prendre par quiquonque. Je pris parole doucement en tenant toujours sa main, mes yeux azure le regardaient tendrement.
- Cela est une très bonne idée, mais déja faut-il que je puisse sortir seule du château.
Mao me regarda, nos corps nus étaient encore collés l'un à l'autre, mes yeux le fixa, il semblait perdu dans ses pensées. Je ne bougea pas, mes yeux d'azure le fixait et mon corps restait coller conte lui. Il prit parole en me tenant contre lui.
Il me ramenait ma phrase que je lui avais dit à propos de savoir à quoi ne pas m'attendre avec mon potentiel époux, si jamais des épousailles s'organisaient pour moi. Il me demandait même si mon père était aussi horrible qu'il m'avait élever uniquement dans ce but. Sinon celui-ci avait deux hypothèse, soit que j'avais déja expérimenté mais jamais ressentit cela de mes autres partenaire ou soit que j'étais pucelle.
Avant que je puisse répondre, il prit une respiration et un soupir profond puis me demanda, pourquoi j'avais accepté son invitation et pourquoi lui...
Je pris parole doucement tout en continuant de le regarder de mes yeux qui étaient rendu triste.
- À Viermont, du moins les humains élèvent leurs enfants comme cela et comme je suis la fille du roi, et une humaine, celui-ci m'à élevé comme étant qu'une productrice de futurs héritiers de la famille royale... Mon père.... est comme le peuple le décrit.... égoiste, ne se soucie pas du peuple, imbue de lui-même et par dessus tout, il à une haine des Gorinns... Mais en même temps, il me surprotège de loin, je ne le comprend pas très bien...
Je pris une grande respiration et expira pour reprendre parole doucement.
- J'étais pucelle avant ce soir, la seule autre personne à avoir couché avec moi est une femme. Ce qui est encore une fois parfaitement normal à Viermont.
Je m'arrêtais, sa question me pris au dépourvue, comment pouvais-je expliquer ce qui n'était pas explicable. J'étais attirée par lui comme si une force invisible me liait à son bonheur et qu'il me rendait heureuse et que je me sentais complète, le vide béant que je ressentai n'était pas présent en sa présence. Comme lui dire que malgré ma royauté, je le voulais lui, pour moi seule. Je l'ai suivi par désir et envie, mais surtout par consentement. Je ne peux lui avouer que je l'aime, mon père me laisserai jamais avoir un Gorinn comme époux et encore moins un homme du peuple. Je repris parole difficilement.
- Je ne peux expliquer le pourquoi, mais quand je suis avec vous, je me sens bien et heureuse comme si un vide était remplis.
Je ne voulais vraiment pas y dire que je l'aimais car je ne voulais pas lui donner un faux espoir. Je sentis ses bras me serrer plus contre lui, j'arrêtai de le regarder un peu gênée de ne pas pouvoir lui donner une vrai explication ou de lui avouer ce que je ressentais. Je sentis sa tête se coller contre la mienne. Les battements de son coeur m'appaisait et j'étais heureuse présentement, j'avais été consentante de mes actes et je ne regretais rien.
Je me replaçai légèrement pour être mieux contre lui, je pliais ma jambe qui était par dessus lui et resserai ma prise sur sa main, je ne voulais pas retourner dans ma prison glacial...
Les propos de la princesse me prirent de court. Mes oreilles tiquèrent un moment. Elise s’était-elle vraiment dite humaine? Elle partage les mêmes traits que ma race, … que moi… Est-ce pour cela que son père ne semblait pas la valoriser?
- Pourquoi votre père ne vous accorde pas tant de valeur?
J’espérais que ce n’est pas pour sa nature de femme ou encore son apparence qui n’est pas propre à ce qu’elle croit être.
- Excusez-moi Elise, mais … Comment pourrais-je le dire?
Un air pensif apparut sur mon visage, alors que je réfléchissais à la formulation appropriée pour lui exprimer ce que je pensais.
- Je ne suis pas sûr des bons mots pour vous partager ce que je perçois et je vous prie de pardonner ma maladresse.
Je respirai profondément et soupirai puissamment. Je me sentais déjà mal de lui dire que je ne la pensais pas de la race qu’elle prétend être.
- Vous me semblez ressembler étonnamment plus aux gens de mon peuple qu’aux humains.
Je m’arrêtai pour lui laisser le temps de digérer la nouvelle. Je me sentais coupable des émotions que je pouvais potentiellement générer en elle avec mon affirmation. Je la regardai avec tristesse. Après quelques minutes, je repris la parole.
- Je suis sincèrement désolé. J’espère seulement que cela ne me fait pas perdre de votre appréciation envers moi … Je préfère être sincère avec vous sur de tels sujets. Des rumeurs courent… Je serai mieux de me taire.
Je me sentais tendu de le lui en parler. Je pris mon courage à deux mains pour continuer.
- Par exemple, il est mentionné que vous seriez parfois habillée plus légèrement que la moyenne quand la température se refroidit. Selon l’éclairage et la chaleur ambiante (ou son absence), certains ont eu l’impression que vos veines étaient plus apparentes et bleutées que celles des autres, sans comprendre le charme que ça ajoute ni l’attraction que ça crée chez un des nôtres. Tous ces éléments sont typiques chez les Gorinns.
Araki Mao
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Araki Mao
Mar 12 Nov - 7:04
Petit repos à la Taverne Feat. Elise De Greywish et Araki Mao.
«Les chaos est le nom que l'on donne à tout ce qui produit la confusion dans notre esprit.»
Son torse montait et descendait au rythme de sa respiration et cela me rendait heureuse, ne rien faire et être coller à une personne qui remplissait le vide que j'avais à l'intérieur de moi. Mao prit soudainement la parole me demandant pourquoi mon père ne m'accordait pas tant de valeur. Je poussai un soupir et répondit tristement.
- Car je suis bonne qu'à mettre au monde des héritiers royaux... voila pourquoi je n'ai pas autant de valeur, une fois marié, je devrai obéir à mon époux comme une bonne petite marionette obéïssante, sans le moindre droit de parole.
Je déposai mon regard triste sur lui, il semblait un peu confus ou pensif, je n'arrivais pas à bien apercevoir, il prit parole de nouveau mais cette fois-ci en utilisant mon prénom sans titre honorifique et comme si je fesai partit du peuple, cela me pris de cour et il semblait chercher ses paroles.
Celui-ci, prit de nouveau parole, il n'était pas sûr des bons mots pour m'exprimer ce qu'il voulais dire et il me priait de pardonner sa maladresse. Je fis un signe affirmatif de la tête et attendit que mon partenaire parle, mais avant sa prise de parole, il prit une grande respiration et soupirai puissament. Je ne pouvais savoir ce qui le tracassait.
Il prit parole en me disant que je ressemblai étonnamment au gens de son peuple qu'aux humains. Je restais confuse, pourquoi m'aurait-on mentie toute ma vie, je pris parole confuse.
- Je ne comprend pas, ils m'ont tous dit que je suis une humaine....
Il semblait vouloir me laisser le temps de digérer le tout mais j'étais plus confuse qu'autre chose. Mao semblait s'en vouloir et il me regarda avec tristesse et repris parole. Il s'excusait sincèrement et il espèrait que je ne perdre pas l'appréciation que j'avais envers lui, Cela n'avait aucun rapport à lui, je ne pouvais lui en vouloir, il me confirmait qu'il préférait être sincère avec moi avec ce genre de sujet, ce qui est normal.
Il m'annonça que des rumeurs courrait sur mon sujet, je l'ai connaissai déja, le peuple en parle beaucoup dans les taverne et ce qu'il m'annonça ne me surpris point. Cela était vrai que je n'aimais pas avoir un manteau et préfèrai les vêtements légers malgré le froid. Ce n'est point de ma faute si je ne resens pas le froid non ? Il continua avec mes veines qui étaient plus bleautées que les humains, que ceux-ci ne comprenais pas le charme et l'attraction que cela créait cher un Gorinn. Je pris parole un peu plus confuse.
- Je ne comprends pas... je... je...
Soudainement, je me séparai de ses bras pour m'asseoir sur lui, il ne pourrait pas bouger et je pourrait comparer, nos corps nue étaient collées ensemble que par notre entre-jambe et mes jambes le long des siennes. Je déposai une main sur son torse pour lui faire comprendre de ne pas bouger. Mon autre main fit quelque geste et une sphère de feu lévitais au dessus de celle-ci me donnant assez de lumière pour scrupter nos corps.
Ses yeux et ses cheveux étaient brun, ce n'était pas typique des Gorinns, il devait manipuler une magie.... Donc encore une fois, un mensonge de plus, je descendis mon regard sur son torse et ses bras, il était vrai que je ne pouvais pas voir ses veines qui normalement seraient légèrement plus bleu que celle des humains, sa peau n'était pas blanche mais légèrement bronzé, cela devait être un erreur, il ne pouvait pas être un Gorinns.
Je finis par m'observer, il était vrait que ma peau était pâle, que mes cheveux n'avaient pas une teinte humaine, en regardant mes bras j'aperçue mes veines de la même couleur que les siennent, je pensai que tout les humains étaient fait ainsi, j'étais aussi plus petite qu'une humaine de grandeur moyenne.
Mon regard était confus, et ma respiration s'était accélérer, ont m'avait donc mentis toute ma vie, mon propre père m'avait menti, ainsi que tout ceux du château, que ce soit servant, soldat,conseiller, on m'avait obligé de porter des talons hauts et un manteau pour ressembler plus aux autres, des larmes coulèrent de mes yeux.
Je ferma ma main et la boule de feu disparue, je me replaça contre Mao, pleurant toute les larmes qui pouvait sortir, la confusion était présente et le dénie aussi, je ne pouvais pas comprendre.
Ma vie avait déja été minable, cela devait être la raison pourquoi je ne sortai que rarement du château, je ne pouvais quitter, j'étais rien sans mon titre de noblesse... De plus en plus, j'espérai que ce chevalier en armure blanche viennent me sauver et m'amène dans son château, un peu comme Myrefall ou l'homme et la femme étaient égaux. Je prit parole au travers mes sanglots.
J'étais confuse et en panique dans les bras de mon amant, j'avais couché avec un inconnue car je me sentais bien avec lui, j'avais brisée une règle de noblesse, mais étais-je vraiment noble ou bien tout simplement adopter. Mes pensées se mélangèrent et je restai collé contre mon partenaire pleurant sur lui
Je regardai la belle s’éloigner de moi. Croyant qu’elle s’éloignait, je bougeai pour la rejoindre, mais elle s’assied sur moi, longea ses jambes près des miennes et appuya fortement sa main sur mon torse. Je ne pouvais plus bouger. J’en profitai donc pour observer ses actions. Elle s’analysait et nous regardait en alternance. Son regard était soucieux. Elle me dit n’être qu’un mensonge…
- Ce n’est pas vrai, ma chère. Ce sont ceux de votre entourage qui vous ont menti en entretenant que vous vous croyiez humaine. Pour que ce soit un mensonge, il faut que ce soit d’abord fait volontairement et puis dans le but de nuire ou de fuir la majorité des fois. Je sais de quoi je parle… J’en ai l’expérience…
Je soupirai fortement et la pris dans mes bras. Je lui caressai le dos, les cheveux. Je lui fredonnai un air de berceuse. Ce faisant, je devins pensif et fixai un coin de la pièce. Je sentais son désarroi et voulais la consoler. Je me sentais aussi coupable. Comment pouvais-je lui dire maintenant que je lui avais menti sur mon apparence? Le moment était authentique, on avait eu une expérience magnifique, … Mais je ne m’étais pas montrer sous mon vrai visage. Mon regard devint sombre.
- J’ai eu du trouble à quelques reprises avec les gardes. C’est par le mensonge que j’ai réussi à me sauver. Je me sens mal de l’avouer, car je ne veux pas atténuer ce que nous venons de vivre qui était si merveilleux. Tout ce que vous avez pu percevoir de moi pendant que nous le faisions était sincère. Je n’ai jamais vécu d’instants aussi intenses.
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Araki Mao
Lun 18 Nov - 7:20
Petit repos à la Taverne Feat. Elise De Greywish et Araki Mao.
«Les blessures les plus profondes ont toujours eu trait à des trahisons. C'est ce que je redoute le plus, la trahison d'amis ou de proches.»
Mon amant tentait de me rassurer le plus possible, ses bras étaient confortable et je me sentais bien avec lui. Il prit parole à la suite de mes excuses et me dit que cela n'était pas vrai, que je ne suis pas un mensonge, que c'est la faute de ceux qui m'entourait. Donc, depuis le début de ma vie, j'ai été trahis, par mes proches. Je continuais de pleurer sur lui, il me dit que pour qu'un mensonge soit vrai, il faut que la nature de celui-ci soit volontaire et dans le but de nuire ou de fuir la majorité des fois. Il savait de quoi il parlait, il en avait l'expérience.
Un doute germait dans mon esprit, m'avais-t'il menti? Était-ce sa vraie apparence? Qui était-il vraiment? Après tout, je ne pouvais pas le savoir et cela me rendit légèrement méfiante et insécure. Il soupira fortement et me pris dans ses bras. Il se mit à me caresser le dos, suivi de mes cheveux. En plus, il me fredonnait une berceuse. Cela me permis d'arrêter de pleurer mais peut de temps après, mes regard croisa le sien qui était sombre.
Je ne pouvais rien dire, je ne savais pas quel dilème se passait dans sa tête et pour quel raison, son regard était aussi sombre. Il prit parole subitement et me dit qu'il avait eu des problèmes avec les gardes à plusieurs reprises. Que mentir lui avait aider à se sauver, il se sentait mal de me l'avouer, car il ne voulait pas que le moment merveilleux que nous avons eût soit défait. Que tout ce que j'ai pu percevoir en lui pendant notre acte était sincère. ll n'avait jamais vécu d'instants aussi intense.
Je fus encore une fois perdue, il me cachait quelque chose et j'en avais assez avec les mensonges. Je pris parole doucement, tout en le regardant droit dans les yeux.
- Si vous pensez vraiment ce que vous dites, je ne veux plus de mensonge... J'en ai assez entendu dans ma vie, avec votre révélation....
Mes pensées se bousculait et je ne savais plus vraiment quoi dire ou faire, je voulais qu'il soit véritable avec moi, pas un mensonge. Je pris de nouveau la parole en soupirant.
- Si vous voulez que je tiennes à vous, et que je deviennes votre amante, vous allez devoir me convaincre car sinon, j'oublirai ce moment et je ne vous reverrais plus....
Je pris une pause et me redressai, j'étais à présent assise sur le lit, s'il ne voulait pas me dire la vérité, je partirais au château retrouver Karina et j'oublirai ce moment magique, même si cela briserait mon coeur. Je repris parole tranquillement, cette fois-ci je ne le regardais pas.
- Si vous me cachez quelque chose, je vous conseils de me le dire. Je ne vous ai rien caché de mon côté... J'ai été sincère... et véritable.
Je sais que mes paroles allaient probablement blesser Mao, mais je n'en pouvais plus des mensonge, j'allais devoir confronté mon père aussi... Je n'avais point hâte à ce moment. En plus, cela me rendais vraiment triste, car j'avais encore envie de sentir nos corps collés, de le sentir à l'intérieur de moi, de faire qu'un pendant un court instant, je voulais avoir encore une fois des relations avec lui mais pas avec le faux Mao, je voulais le vrai...
« On ne te demande pas beaucoup de paroles, on n'exige de toi que la vérité. »
- Proverbe grec
Je regardais doucement Élise, pendant qu’elle me partageait ses pensées. Son trouble apparent me bouleversait. Je ne pouvais rester indifférent. Sans m’en rendre compte, elle avait décelé une parcelle de moi que je ne dévoile que très rarement, ma magie … Une en particulier! Ca me sauvait la peau à plusieurs reprises autant que ça alimentait discrètement mes conquêtes, puisque je pouvais les voir sans me faire reconnaître, que ce soit pour faire durer le plaisir ou le cacher aux maris infidèles, distants et/ou cruels, etc. Mon regard s’attrista. Je devais afficher mon vrai visage si je voulais la garder dans ma vie… Elle avec qui je sens une connexion comme je n’aurais jamais cru possible…
- S’il vous plaît, ne m’en voulez pas… J’avais mes raisons de ne pas montrer mon apparence originale…
Je respirai un moment et affichai mes traits. Mes cheveux pâlirent drastiquement à en devenir gris argenté, presque blancs et leur longueur raccourcirent légèrement en bas des oreilles pour ne laisser qu’une mèche tressée à l’arrière de ma tête. Mon teint basané disparut pour en laisser apparaître un ivoire quasi fantômatique avec des veines bleutées luisant à la lumière tamisée. Une marque se dessina à la suite de mon sourcil droit. Mes yeux passèrent de noisette à bleu saphir. Ma silhouette gardait son côté élancé.
- Je me sens honteux de vous avoir ainsi menti sur mon identité. Cependant, mes sentiments envers vous sont sincères. C’est pour ça que j’accepte de m‘exposer ainsi à vous, car je tiens à vous et j’aimerais vous revoir.
Je m’arrêtai, car, pour la première fois de ma vie, je ne savais plus quoi dire devant une femme. Celle qui paraissait toute frêle avait osé s’affirmer et démontrait une force que je ne lui savais pas. J’avais peur de sa réaction…
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Araki Mao
Mar 26 Nov - 7:51
Petit repos à la Taverne Feat. Elise De Greywish et Araki Mao.
«Entre cette femme et moi, il y a une ressemblance étrange. Nous avons le même âge et elle est comme mon double. On est presque des jumeaux. Et je suis très étonné de ce qui m'arrive : je pensais que mon coeur était endormi. Jacques Poulin»
J'étais encore légèrement troublée par le fait que toute ma vie on m'avait menti sur mon origine et sur ce que j'étais, que mon père haïssait assez cette race pour cacher sa propre fille comme une humaine. Ce que je ne suis pas, je partages les traits des Gorinns, je m'en doutais un peu, mais je fesai comme-ci je ne le savais pas pour faire plaisir à mon père.
Plus que le temps passe, plus qu'il me rend triste, j'en arrive presque à penser que c'est voulu de sa part et qu'il me déteste. Je vais devoir le confronter au retour, car je veux savoir. Mère pourquoi es-tu partie en me laissant seule avec lui ?
Puis mes pensées furent intérompue par Mao qui me demandais de ne pas lui en vouloir, qu'il avait ses raisons de ne pas montrer sa vrai apparence. Sans me retourner pour le moment, je pris parole tristement.
- Tout le monde a ses raisons, je dois avouer que je vous en veux légèrement...
Puis je me retournai pour lui faire face, ses traits changèrent lentement vers des traits un peu plus commun des Gorinn et étrangement, il me ressemblait, comme-ci je me regardais mais du sexe opposé, cela était curieux et bizzare. Aurai-je trouvé une personne qui me ressemble comme dans les rumeurs qui courent dans les royaumes ?
Je pris la décision de m'asseoir de nouveau sur lui, nos sexe était collée l'un contre l'autre, j'étais encore très humide en bas, je le désirais encore... c'était la première fois que cela m'arrivais d'en vouloir autant, normalement une session et je suis satisfaite, mais avec lui c'était différent.
Bien que je sois satisfaite, je voulais de nouveau ressentir cette connection étrange mais à la fois bienfaisante. Je voulais être de nouveau "complète" dans un sens. Peut importe les risques ou le danger qui pouvait m'arriver.
Sans que je m'en rende compte, je bougeais légèrement mon bassin pour l'exciter et je détachai finalement mes cheveux qui tombèrent en cascade fine et lisse jusqu'à la fin de mon dos. Je penchai ma tête vers lui et le mordillai dans le cou, je sais que cela n'ai pas approprié, une femme ne doit pas faire les premiers pas et elle doit obéir à l'homme dans la couchette mais pour le moment je m'en balançais des règles.
Quand j'eûs finis de le mordiller, je pris parole tendrement en lui caressant d'abord la joue et descendant ma main sur son torse, mon bassin se balançait encore avec légèreté.
- Mao.... Vous êtes .... plus beau sous votre véritable apparence...
L'avantage que j'avais contrairement aux autres races et dû au fait que je ne mangeai presque pas était que mon poid est très léger. J'approchai doucement mes lèvres de ceux de Mao et je l'embrassai tendrement pour lui montrer mes intentions. Après ce court mais tendre baiser, je me redressai et pris de nouveau parole.
- C'est étrange, avec vous... je me sens complète... comme si le vide que je ressens normalement avait disparu, je ne comprends pas pourquoi.... Pourquoi m'attirez-vous comme la liberté attire le Harfang... Pourquoi ?
J'avais tant de questions mais aucune réponse et je doutes que lui ai des réponses aussi sur le pourquoi nous somme identique comme un miroir à l'envers et cette connection inexplicable, ont ne c'étaient jamais parler avant cette journée.
J'espèrai vraiment qu'il ait compris mes messages clairs et subtils, je déposai mes mains sur son torse et le regarda de mes yeux d'azure, scrutant les moindres réactions ou geste de sa part. Nous avions vraiment les mêmes yeux, le même teint de peau blanchâtre qui révelait nos veine, nos cheveux partageaient leur couleur... qui était-il pour me ressembler autant ?
Qui était-il pour me rendre aussi heureuse et combler ce vide immense que je ressens normalement... Tant de question mais peu de réponse, de toute façon pour le moment, ce qui m'intéressait n'était pas les réponses mais qu'il me prend de nouveau et me fasse sienne pour un moment.
« La réflexion constructive est un réel travail, et peu de gens ne prennent le temps d’y réfléchir. »
- Melki Rish
Je souris timidement et rougis légèrement. Je me sentais également honteux que ça me mélangeait dans mes sentiments. Elise m’en voulait, mais elle me complimentait. Il faut croire que c’est à mon tour de réagir à la gent adverse. Du bout des lèvres, je lui soufflai mes remerciements. Je la sentais s’installer sur moi et son bassin commencer à bouger. Je ne sais pas si elle se rendait compte de ce qu’elle faisait. Je mis mes mais sur ses bras et les parcourrai. Puis, elle se mit à me mordiller. Bon, ses intentions sont claires. Ça tombe bien avec moi qui pourrait le faire tout le temps…
- Merci de me trouver plus beau au naturel. Cependant, je ne mérite pas d’être ainsi honoré.
Je réfléchis à ses questions. J’étais aussi confus qu’elle à ce propos. Je ne savais pas pourquoi elle se sentait complète particulièrement avec moi, ni pourquoi je semblais combler son vide intérieur. Pourquoi l’attirais-je autant? J’ai l’habitude de séduire les femmes et de trouver des façons de m’approcher plus d’elles, ce qui m’a aguerri de plusieurs techniques et années d’expériences. C’est a probablement aidé. Mais à quel point? Je ne connais pas son passé amoureux, ni relationnel. Je ne suis pas en mesure de comparer son attirance pour moi à celle pour de potentiels autres gens de son entourage. Je semble pourtant lui en offrir plus puisqu’elle dit se sentir libre comme un Harfang des neiges. Ce que je trouve d’autant plus étrange est que je me sens aussi comblé, plus que je ne l’ai jamais été. Même en présence d’autres femmes, je n’ai senti rien de tel. C’est vraiment mystérieux! J’en sens presque le besoin d’investiguer pour comprendre ce qui nous arrive. Est-ce mon âme sœur? Ce serait impossible! J’aime beaucoup trop les demoiselles pour me limiter à une seule…! J’ai une libido trop grande et un roturier avec une princesse ne sont pas faits pour connecter autant et se lier davantage qu’une relation de vassal à maître… Même si je chéris ma liberté par-dessus tout.
Pendant cette réflexion, je remarquai à cette occasion que nos traits étaient drôlement ressemblants, plus que pour des Gorinns ordinaires. Comment une princesse et un paysan pouvaient-ils avoir des traits que certains considèreraient presque de famille. J’effaçai cette idée folle de ma tête et me concentrai sur le moment. Je commençai à les faire des caresses et explorer à nouveau son corps, en attendant de voir ses réactions et espérant qu’elle embarque pour que ça se poursuive plus loin.
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Viermont
Araki Mao
Messages : 126 Écus : 3518 Date d'inscription : 14/10/2019 Âge : 16 Origine : Grimael Emploi : Homme à tout faire
Araki Mao
Dim 1 Déc - 16:18
Petit repos à la Taverne Feat. Elise De Greywish et Araki Mao.
«"Hier n’existe plus , demain ne viendra peut-être jamais. Il n’y a que le miracle du moment présent, savoure-le. C’est un cadeau!" -Marie Stilkind»
« Les plaisirs de l’amour sont les seuls vrais plaisirs de la vie corporelle. »
- Michel de Montaigne
Araki Mao
Viermont
Araki Mao
Messages : 126 Écus : 3518 Date d'inscription : 14/10/2019 Âge : 16 Origine : Grimael Emploi : Homme à tout faire
Araki Mao
Sam 7 Déc - 15:38
Petit repos à la Taverne Feat. Elise De Greywish et Araki Mao.
«"Le sexe peut tuer. Tu sais ce que notre corps subit quand on fait l'amour ? Les pupilles se dilatent, les artères se contractent, la température augmente, le coeur s'emballe, la pression artérielle crève le plafond. La respiration s'accélère et devient haletante, le cerveau envoie des impulsions électriques dans tous les sens et des sécrétions jaillissent de toutes les glandes et les muscles se tendent et se crispent comme si on soulevait trois fois le poids de notre corps. C'est violent, c'est brutal et ce n'est pas joli. Et si Dieu ne s'était pas arrangé pour qu'on en redemande, ça fait bien longtemps qu'on aurait cessé de se reproduire. Les hommes ont la chance de n'avoir qu'un seul orgasme. Tu sais que les femmes peuvent jouir pendant une heure !" -Docteur House - Cameron»
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