|  Dim 7 Fév - 18:29 WINGHEART Kilian
| Identification
Nom: WINGHEART
Prénom: Kilian
Date de naissance: Dans les environs de 1463
Sexe: Homme
Orientation sexuelle: Hétéro
Pays et ville d'origine: Kewanee, Whabeck
Race: Hybride (Tigre) / Élémental (Foudre/Métal)
Dieu: Aucun
Clan: Aucun
Je veux jouer avec l'influence des Dieux:
Oui[X] | Non[]
Derrière l'écran
Surnom: Pouacman
Âge: Adulte
Comment avez-vous trouvé le forum: Un appel de détresse !
Autres personnages: Pas encore !
Fréquence de connexion: Quand il y a un RP à répondre.
Commentaires: C’est sympa ici.
|
Description physique
L’apparence physique :
WINGHEART, un nom d’un raffinement, d’une noblesse, si exquise que l’on s’imaginerait presque déjà, une haute personnalité de cours royale, et... Et bah non ! Kilian c'est au moins 2m20 pour près de 130 kg : sans compter son attirail. Des cheveux noirs à la nuque, plus longs et ondulé au-dessus - en comparaison de sa petite comparse à la crinière mi-longue blond miel, toute douce - ils sont doux comme sa barbe courte, mais fournis, qu'il taille lui-même au couteau. Barbe qui atténue une mâchoire massive et puissantes - qui mord donc beaucoup plus fort qu’une humaine, sans vous brisez un os… ou presque. Le point positif, s’il vous mord, c’est que vous n’attraperai pas de microbe : salive antiseptique – Il a donc des dents, comme n’importe qui, mis à part que les canines sont des crocs, et que ce n’est pas n’importe qui, qui possède des "carnassières" - La petite elle, en est encore aux crocs de lait – une bouche donc, qui quand elle s’ouvrait, laissait sortir une puissante voix grave, basse, et rauque. Le géant regarde donc toujours loin devant lui, zieutant de temps en temps, dans toutes les directions, de ses yeux vairons - bleus azur à droite, Ambre gauche - tout comme ses grandes oreilles félines et très mobiles, bouges et sautillent, au moindre bruit, lui indique une direction ou une autre – ce qui est tout mimi sur la petite tigresse au yeux bleus et joueur- direction qu'il suivra avec son grecque, qui sentira si vous avez peur, si vous êtes triste, agressif, ou en... Hum ! Sa peau mate et sèche, est « tatouer » de 2 types de marques : de légères rayure - Sinon, ce ne serait pas un hybride tigre, hein ? – qui semble faire office de « marque élémental ». Oui, parce que par moment – en même temps que crépitements et arcs électriques – celle-ci s’illuminent. Ce qu’il y a du coup d’amusant – ou pas, selon les circonstances – c’est que selon l’environnement, l’électricité et donc les marques, change de couleurs : blanche en général, mais devient jaune quand il beaucoup énormément de poussière – dans les zones désertiques en l’occurrence – potentiellement rouge quand il y a de la pluie, voir bleue quand il y a de la neige ou de la grêle. 2nd type de marques, ses cicatrices : plusieurs au visage - joue droite, tempe gauche, sur le nez, à la lèvre... - sur le torse, à l'abdomen, sans compter celle qui ne se voit pas - à la cuisse gauche, une bien grosse au pectoral gauche, et au bas du dos... N’oublions pas de préciser, que Môsieur le géant tigré, est « digitigrade ». De bien bonnes grosses papattes, muni de griffes rétractiles, et puis on aurait aussi pu parler de son appendice caudal, mais… Il en a plus - chasse, qui s’est mal terminé. Plus généralement, c’est un corps taillé pour le combat, plus précisément pour des attaques éclaires. Une puissance musculaire explosive, qui a donc une faille, énorme : l’endurance !
L’apparence vestimentaire :
Niveau marque, on peut aussi parler de son armure - qu'il a forger lui-même, pièce par pièce, au gré du temps et des lieux - évidemment adapter à lui, à la vue de ses spécificités d'hybride. D’ailleurs il ne porte qu’elle, et un pantalon en toile en-dessous, pourquoi ? Bah... Simplement, parce que les vêtements ça se déchire, y faut les recoudre, ça se re-déchire, ça brûle, ça se re-déchire... Et les pantalons en cuir, sa respire pas ! - Essayer une fois, pas deux… - Accessoire cependant indispensable, son tablier de forge en cuir tanné renforcé. Et pour en revenir aux marques, on parle bien sûr, des rayures et éraflures, dont son balafré son armure. Toutes ces « œuvres d’art », tout comme celle de son corps, racontant une histoire : soit pendant une traque, une chasse, dans une taverne, ou une auberge, ou on ne sait où encore…
L’équipement :
Notre prédateur de criminel, se trimballe donc, avec un « essentiel » bien à lui :
Une bourse en cuir : cacher sous sa spalière – ou épaulière -
Les Marteau & bouclier : à sa taille, dans un alliage exprès, pour qu'il puisse les "rappeler" eux, spécifiquement, sans ramener à lui "d’autres chose". Un marteau tout métal de 4 kg, accrocher à sa ceinture, dont il se sert aussi pour forger, à l’occasion. Un bouclier type rondache tout de métal, de 6 kg et 76 cm de diamètre, qui "s'accroche" à son gantelet droit, pour que celui-ci ne lui échappe pas, quand il l'utilise.
Une hache « rétractile » : Oui, parce que pour faire du feu, il faut du bois, et quand y a pas de bois mort à porter, couper du bois à mains nue… Donc « rétractile », oui, une idée qu’il un jour, en regardant ses pieds. Ses pattes ?
La besace : des choses comme viandes séchés, bouts de lanière de cuir, boîte remplie de bandages, et un couteau pour dépecer.
La… "chariotte" : bah c'est "la chariotte à Lili". Faites de bois de sapin, consolider de clous et de boulon, recouverte de cuire en extérieure, et tapisser/rembourrer d'une peau d'ours à l'intérieur. La « fo’teresse », est assez grande pour abriter Lili, et la protéger du mieux possible de différentes intempéries, rencontré en route. « fo’teresse » roulantes donc - qu'il regraisse souvent - pour la tirée derrière lui – porte plus rarement sur son dos. Boîte donc, qui contient en général : un petit vêtement de rechange de Lili, son petit marteau pour faire comme "Kiyan", qui peut aussi servir à transporter des choses - une fois la peau d'ours et ses petites affaires enlever - puisque la chariotte fait 100cm de long, et 50 de large et de profondeur.
Description psychologique
Kilian est une sorte d’altruiste refoulé, quelqu’un d’observateur et à l’écoute de ce qui l’environne, et de ceux qui l’entoure. S’il daigne ouvrir la bouche, autrement que pour manger ou bâiller comme un fauve : ce sera pour parler naturellement, et franchement. Il faut du courage pour cela, dans certaines circonstance - là encore, sans parler en termes de ses affrontements d’adversaires divers et variées, aussi bien en taille qu’en puissance - tout en étant prudent et responsable, sinon ce ne serait que de la témérité mal placer. C’est même indissociable, d’un tempérament protecteur, comme le sien - surtout à l’égard de Lili – Protection donc, et loyauté, qu’il ne donne pas facilement à tout le monde - seul personne, bénéficiant de la dites protection étant : Lili, ceux qui en ont « vraiment » besoin, ou qui paient bien. C’est un Chasseur agile et adroit, faisant preuve de créativité, d’habileté et de patience. Qualités que l’on retrouve aussi dans sa pratique de la forge.
C’est un « bon garçon » mais grognon et susceptible, qui si sa patience est tarie, peut devenir agressif - D’où aussi le fait, que ce soit un Ermite – Taciturne donc, il ne parle vraiment qu’avec une personne : Lili. Vous, s’il ne vous connaît pas encore bien, ou qu’il n’arrive pas à vous cerner, il faudra vous contentez d’un « ensemble de vocalise » entre le grondement, le grognement ou le soupir, ou au pire le rugissement. C’est Bien sûr, sans citer sa gloutonnerie, mangeant entre autres avec voracité, couplé à un certain degré de manque de savoir-vivre - Malgré le fait d’avoir été élevé par des fées, ou le syndrome « Je pète des paillettes ».
Deux Points font la force de Kilian. Il connaît ses faiblesses : il a les capacités physiques, de franchir des obstacles de près de 3m de haut, ou 10 de long. Piquer des sprints à 55. Déplacer des charges de 300 à 400kg, lui permettant d’affronter des adversaires, aussi imposant que lui. Mais cela ne veut absolument plus rien dire, une fois à court d’endurance, d’énergie. Ce qui amène au second point : sa capacité à synergiser ses aptitudes et compétences. Armé de ses attributs « élémentaires », de son marteau et son bouclier, conscient de ses plus grandes faiblesses : il élaborera une ou des attaques surprises, aux points vitaux, aux coups les plus précis possible. Car pour Kilian, la dissuasion n’est pas une option, tout au plus une perte de temps et d’énergie. La « fuite » non plus, ou alors dans le cadre d’une « retraite stratégique » pour ré-attaquer de nouveau. Non, le principal objectif sur une cible ou un adversaire potentiel, est au mieux, l’inconscience, au pire, la mort.
Quelle faiblesse peut bien avoir, quelqu’un comme Kilian. Les gens le juge facilement à son apparence, trop fort, trop puissant, inarrêtable… Ce sont les mêmes problèmes qu’il a rencontré plus jeune, à Aurorae. Comme il ne voit à première vue chez lui, aucune faiblesse. Il le juge, sur sa force, ses réactions, sa particularités singulière d’élémental – qu’il ne connaît toujours pas – alors oui, il est en parti, devenu quelqu’un de grognon et susceptible, et si on le titille de trop, il peut devenir agressif. Pour cela il fuit, ou il tente de fuir : c’est déjà l’opposé de façon d’agir. Il pourrait avoir la « maturité d’esprit » de faire fit de ces gens, mais… C’est comme ancré. Autant cela ne se voit pas, du premier coup d’œil, mais lui le sait : il est la moitié de quelques choses, la moitié de quelques choses qu’on a abandonné, rejeté, dont on s’est moqué, qu’on a raillé, rabaissé sur certains point… Une bête assoiffée de sang, trop grande, trop puissante, juste un gros tas de muscle qui ne sait se servir d’un marteau, que pour broyer des os… Il y a bien des Hybrides, pire que lui en stature, mais ça lui est rester, et il déteste par-dessus tout, que Lili en soit victime. Et quand ça le submerge, qu’il perd pieds, il ne reste que la profonde culpabilité d’os brisé. Il leur aura donner raison…
- En comparaison d’un Hybride-Tigre sans autres métissage, il est moins puissant, mais plus endurant. Toutefois, la question de l’endurance, reste un problème. Une tare, qui malgré l’entraînement demeure. Il suffit alors d’une erreur tactique, stratégique, coupler à une mauvaise gestion son énergie et BOUM ! : Panne sèche. Tombé à court d’énergie, voilà une de ces principales craintes, surtout si affrontement, traînent en longueur.
- Pire que son endurance : Lili. Après l’avoir laisser - presque abandonner - un court instant, et être rentré en lui-même, il l’a reprise, mais en la reprenant il a justement repris, ses plus grandes peurs : Se retrouver un jour, de nouveau seul face à sa solitude – ce qui est plutôt paradoxale, pour un tigre, même à moitié - La peur de la trahison – Soit les « bienfaisantes » manipulation de ses parents adoptifs, mais surtout Claudius par rapport à Torkild, les considérant tour à tour comme ses mentors - de quelqu’un qu’il chérît, la peur même, de perdre ce quelqu’un sans pouvoir rien y faire – Soit en l’occurrence Torkild - Tous cela se concentrant, en une seule personne : Lili. Lili, sur laquelle, il fait évidemment un report de lui-même.
Kilian en société, c’est donc « Bonjour, s’il vous plait, merci, aurevoir » ça va - encore heureux, pour l’éducation de la petite Lili… - mais quant à ce qui est des rôts et des pets, c’est autre chose - Et Lili, bah elle rigole, et elle suit… -
Quand il arrive donc, dans une ville ou un village, ce qui se voit du premier coup d’œil c’est souvent la petite tête blonde, qui gigote parfois à la cime du géant. Pour celui-ci, les villes, que trop de brouhaha mette sur le qui-vive, à cause de l’ouïe fine de ses oreilles, c’est juste pour 4 choses :
1 - trouver du travail : pour s’acheter les matières premières, dont il aurait besoin pour forger, ou se payer les voyages par bateau dont il aurait besoin.
2 - Forger : S’il était possible de se balader avec une « forge portable » il le ferait, mais ça n’existe pas. Cela à des fins logistiques, car un bon chasseur, c’est aussi quelqu’un sachant entretenir efficacement son « équipement », et si possible en trouver d’autres, pour l’aider dans sa tâche.
- 3 : Une raison toutefois, à cause de sa nature électrique, peut pousser Kilian à dormir dans une auberge, en ville donc -ou ne pas sortir de l’intérieur du bateau, où il pourrait être - les orages. Ayant donc la capacité - un peu malgré lui - de prévoir un temps orageux, quelques minutes avant que celui-ci n’arrive, il va se mettre à l’abri, sinon : il a les poils continuellement hérissés, il est crispé, sous tension, et du coup 2 fois plus susceptible d’être frappé par la foudre : un paratonnerre sur patte, de qui il faudrait alors s’éloigner s’il n’y a pas d’abris proche.
- 4 : Lili, pour qu’elle lui fiche la paix, et arrête de lui casser les pieds, et les oreilles pendant un moment…
les déplacement de nuit, même sans torche, ne le dérange donc pas plus que ça - nyctalopie - d’où le fait aussi, qu’il ne s’arrête jamais dans des auberges, préférant un bon feu de camp. Sauf s’il fait vraiment froid - surtout pour Lili en fait – même s’il n’y est pas trop sensible, outre-mesure.
Qu’en pense-t-il ? Et bien pas grand-chose. Comment ça, pas grand-chose ? Kilian a connu le « Karma », on peut dire qu’il a grandi dedans, il a connu les « 2 Karma ». Oui, 2 « Karma » : Aislings et Crystas - Soit, les extrêmes, et pas forcément dans le bon ordres… - quand il est arrivé à Myrfall : Plus de Karma ! - Bon, ok… - Mais il y avait « Noasis » - C’est qui ? C’est quoi ? Pourquoi ? – et aussi « Nather » - Ah ? - Déjà deux « dieux » - Déjà assimilé le concept de « divinités », puisque les fées n’en ont pas, c’est le « Karma » ? même lui t’as jamais su d’où « il » sortait, concrètement - pour un seul peuple - les humains, voir même 3 plus tard, quand on compte Erudith - ça c’est pour un seul peuple. On ne compte alors plus, quand il est parti à Gören - On en parle de « Phara » ? - sachant qu’à Aurorae : les trois peuples de fées, avaient peut-être une vision différente du « Karma », mais finalement c’était le même « machin ». Alors pourquoi tout ça ? Quels intérêts ? Ah un instant ! Jusqu’à ce que lui-même apprenne, qu’il avait un « dieu » : « Berion » - ça lui faisait une belle jambe… - Alors que tous ces dieux, formait un genre de « clans » ? Erudith la mort, Zoé la création ! Attendez Zoé la création, MAIS et Berion du coup ? Est-ce qu’il est subordonné à la Zoé ? Est-ce qu’il y en a AU MOINS UN ! UN seul, pour chapeauter toute cette floppé de « divinité », comme PARTOUT - dans n’importe quelle culture donc – il y a UNE SEULE personne, qui dirige tout le monde ? Roi ou Reine ? Pourquoi il n’y a pas UNE seule divinité, pour tout, pour tout le monde, au lieu de : moi je fais les bêtes à cornes, moi j’fais les bipèdes, moi j’fais ci, moi j’fais ça… Une cacophonie culturelle et cultuelle, à laquelle il a choisi de ne pas prendre part. Il veut bien admettre, que ces « divinités » existe, mais quand il y réfléchi, ils ne doivent pas être bien différents du communs des mortels. Aucun, n’aura une quelconque dévotion de sa part, surtout si dans certains cas, c’est une obligation.
Oh, le sujet des démons ? Quel sujet ? D’abord ils ne sont pas natifs de ce monde, ensuite des milliers de gens sont mort, pour enrayer, arrêté leur arrivé. Si on lui demande, il en chassera, même gratuitement - ce qu’il a déjà fait une fois - Pour ceux qui le sont à moitié… Ils n’en peuvent rien, il les chassera au prix fixé, au moins à cause de leur part d’humaine.
Description de la magie de naissance
Type de magie : Foudre
Description :
Kilian est en parti métal et foudre de naissance, ses deux éléments sont parfaitement harmoniques. Cependant, un des éléments est le plus actif : la foudre, le métal étant plus passif, c'est donc la maîtrise de la foudre qui domine.
Une forme d’énergie que Kilian a appris à maîtriser, et continu d’apprendre à optimiser. Depuis Aurorae, il a d'abord appris à contrôler son énergie magique, et à partir de cet enseignement, développer sa propre maîtrise, gestion, et manipulation de la foudre. Cela sur le long terme, au fil de presque 2 à 3 décennies d’expérimentation et pratique.
2 points principaux à considérer, « passif » et « actif » :
Passif, pas de contrôle conscient, cela tient juste de son fonctionnement. Vous verrez souvent de l’électricité sur son corps, selon son état émotionnel, ou son activité physique en cours, créant de subtils arcs électriques, sans conséquence : enchaînement rapide de coups, course à pieds... Summum atteint, quand il rugit. Si vous êtes à proximité immédiate, à ce moment, vous cheveux et poils se dresseront littéralement.
S’il lui arrive d’être frappé par la foudre "naturel" - qu'il n'a pas produite lui-même – ce ne sera pas mortel - d'ailleurs bien des humains y survivent, au coup de foudre... - mais il y aura une énorme explosion d’énergie ! Après quoi il sera sonné, et totalement épuisé.
Maintenant, on arrive à la partie "actif", l’utilisation consciente, qu'il en fait de la foudre. Là où il doit gérer, de façon stratégique et tactique, là où ça coûte de l'énergie, et quand ça coûte de l'énergie, ça coûte de l'endurance, et si t'as l'endurance au niveau zéro au bout d'un moment, et que l'adversaire est toujours debout : bah, à moins d’une foudre "naturel" qui lui tombe dessus, c’est « Adieu, veau, vache, cochon, couvée… »
Niveau mineur :
Kilian peut utiliser 2 formes de détections distinctes, soit :
- D'individu, commençant par un bruit, perçu par son ouïe féline. Tous ce qui est vivant et/ou en mouvement, produit de l'électricité, il peut la détecter plus ou moins loin, sans bouger. Plus c'est gros et vif, plus il le détecte vite et loin, surtout si la cible porte une masse importe de métal. Exemple, un humain moyen, en marche, portant une armure : il le repérera à 10m00, avec une stature moindre, moins loin, avec une stature supérieure, plus loin.
- Du métal, qui dépends de sa proximité, mais aussi de la masse métal : près de vous, il saura exactement ce que vous cachez de métallique. Plus il est éloigné, moins cela est précis, et plus la masse métallique doit être importe.
Niveau intermédiaire - LÉGERS CONTRECOUPS :
S’il fait cette action, plus d’une dizaine de fois dans la journée : la fatigue va s’accumuler, ainsi que de léger fourmillements dans tout le corps, qui peuvent au bout d’une vingtaine de fois, conduira à de léger engourdissement passager. S’il y a trop de personnes, en approche dans des directions différentes, cela exigera plus de concentration, et un début de légère migraine.
Niveau intermédiaire :
Emploi de la foudre plus offensive, utilisation plus stratégique et surtout économique (lancer des éclairs, à tour de bras, c'est épuisant). Kilian pouvant être comme un gros électro-aimant, cela veut dire qu’il peut attirer (ou repousser) tout objet métallique, ou individus en portant, à portée de vue.
- Attraction : Cela peut être général ou cibler dans le second cas un courant électrique ou arc se créera entre sa main et l'objet. Cela fonctionne aussi sur un objet qu'il lancerait, mais il devra être à proximité de l'objet pour le faire revenir. Plus l'objet approchera sa masse, plus il dépensera d'énergie. En revanche, l'objet insufflé de "foudre", pourra électriser la cible, et la paralysée temporairement. Tant qu'il y a un contact physique avec l'objet en question, la dépense d’énergie sera moindre.
- Répulsion : Inverse de l'attraction, il crée soit une sorte d'onde de choc magnétique, dont il est le centre, repoussant tout objet métallique - dont assaillants en armure - proche de lui, à une distance raisonnable. Soit en concentrant cette énergie, dans une de ses mains, ce qui repoussera le dit objet, ou individus d'un simple toucher.
Niveau intermédiaire – CONTRECOUPS MODÉRÉ :
Manipulation économique, du fait qu’il la rend créative, moins d’énergie utilisé d’un seul coup, et sur le plus long terme possible. Toutefois, s’il s’amuse à cela trop souvent, et trop longtemps : c’est un coup de barre soudain et brutal qui l’attend au tournant, accompagné de vertiges et de troubles de la vision, sans oublier des fourmillements et engourdissement plus prononcer des membres. Il lui faudra bien quelques minutes pour récupérer, ou ses capacités de riposte ne seront pas au top.
Spécialisation majeure :
Le dernier recours, l'attaque ultime, le coup de la dernière chance : l’appel de la foudre elle-même - même si elle ne lui "obéis" pas vraiment bizarrement. Nonobstant, il sait au moins ce que ça fait, et comment ça fonctionne à peu près, car il l'a déjà fait quelques rare fois quand même, en 37 ans.
La première fois, pendant un orage, contre un démon : foudroyé, terre>nuage. C’est d'ailleurs contre celui-ci, qu'il a perdu sa queue d'hybride. Pourquoi c'est allez dans ce sens là - terre-nuage - aucune idée.
Puis, au bout de 2, 3 fois, il s'est rendu compte qu'il pouvait pas vraiment frapper, avec la précision qu'une flèche - c'est la foudre quand même... C'est pas vraiment un machin, qui part tout droit, d'une traite... -
La fois la plus récente, c'était contre un Hybride-Grizzly accompagner de ses larrons. Ils avaient attrapé, et tenté de transformer Lili en casse-croûte... Lili à l’abri, se souvenant qu'il était un paratonnerre sur patte, il a serré le gros nounours dans ses bras, s'est concentré sur sa propre énergie et, les autres lascars autours : BOUM, un nuage-Sol ! La seule et unique façon, qu'il a trouver, pour toucher sans raté. Sauf que dans cette dîtes situation, y a pas eût de foudre pour le remettre sur pieds... - Pas pratique.
Il est à noter qu'avec la foudre, on peut fendre un sequoia centenaire en deux, celle-ci peut également se propager à toutes les cibles à proximité. Après si un jour, il en fait une et qu’elle ne vous touche pas vous, mais le sol, ne vous inquiétez pas. Si vous êtes dans sa zone d’impact, elle vous aura même par le sol…
Niveau majeure - CONTRECOUPS :
K.O technique ! Out ! Inconscience, il est bon pour un dodo de 24h au moins. (Sauf si son adversaire est encore vivant, alors c’est lui qui sera achever…).
Récupération physique total : 2 jours minimum ; Récupération énergétique total : 3 jours minimum, sans aucune utilisation d'aptitude électrique, peu importe le degré. De toute façon, s'il tente de nouveau de foudroyer quelqu’un, avant ce terme : Adieu Kilian. Sans compter qu'après son réveil, il aura au moins 24h de vertiges, ou ce n’est même pas la peine qu'il pense, à mettre le pied par terre. Question fringale, je ne vous dis pas...
Description de la magie de naissance (2)
Type de magie : Métal
Description : Kilian est en parti métal et foudre de naissance, ses deux éléments sont parfaitement harmoniques. Cependant, un des éléments est le plus actif : la foudre, le métal étant plus passif, c'est donc la maîtrise de la foudre qui domine. Pourtant, que représente la "maîtrise du métal" chez Kilian ? Forgeron de formation, sa maîtrise de l'élément reste surtout passive, dans le sens où elle passe d'abord, par une connaissance naturelle et innée, de la nature de tous les métaux : point de fusion, point d'ébullition, meilleur "conducteur de foudre", ou de chaleur... Et cela, il l’a bien senti depuis quelques années, mais pour réussir à en faire un usage plus « actif », il doit trouver quelqu’un qui le lui apprenne.
Histoire et passé
De mémoire de Kewaniens, personne n’était assez vieux pour témoigner d’un éventuel précédent. Cependant, le seul qu’il y eût, ne vécut pas assez longtemps pour marquer les mémoires. Au début du siècle dernier, naquit une « chimère », comme la nature peut en créer au gré de ses caprices : un « hybride d’élémentaires », simultanément foudre et métal. En vérité, dès le tout début, la mère sentait bien 2 petites énergies élémentaires différentes, mais à l’arrivée, il n’y eût qu’un seul bébé. Émerveillement, jalousie, effroi, voilà ce que causait la « singularité » de Nathorod IZUSA étant enfant. Ses parents pour son bien, ont alors changer de village pour Kewanee, et l’ont aidé et encouragé à cacher, du mieux qu’ils purent, sa particularité ; Cependant, devoir choisir entre foudre et métal, lui était pareils que de renier une part de lui-même, par extension son père, ou sa mère. Ils partirent de nouveau, Paradoxalement, avec des élémentaux racistes sur Whabeck, à ses 13 ans, pour mieux l’y cacher. C’est là-bas, qu’il rencontra : Kohana KAHSHA, elle aussi « différente ». Une esclave hybride-tigre, de ses parents, à la fourrure blanche et aux yeux vairons. Tomber enceinte, les IZUSA couvrirent la chose un temps, pour Nathorod. Cependant, il ne pouvait laisser Kohana dans cette situation. Ils devaient se rendre à Makkovick, en famille. Pourtant, un jour d’Automne 1463, la foudre éclata sur Whabeck, et ils ne furent que 2 à partirent, dans une frêle embarcation, la mère et son fils sang mêlée : Kilian…
Doveport, 1500 : S’étant discrètement éclipsé, tous ce qu’il avait à faire, c’était tourner les talons, et partir. Partir, et avancer, sans se retourner. Comme il l’avait fait à Aurorae, il y a déjà des décennies. D’abord le portillon, celui de la clôture de la ferme-auberge, près de la ville. Cette porte, il la clos, comme il ferme un petit pan de sa vie, comme quand il a fermé la porte, de la maison des WINGHEART, une famille de Crystas l’ayant adopté. Lui, le fils d’un hybride-tigre et d’une élémental, ou l’inverse - Détails, que lui recherche encore - Pourquoi ? Comment ?
1463, on trouve un bébé dans une embarcation, déjà bien fragilisé, aux alentours d’Ellwood : fiefs des Aislings. Plus loin sur le rivage, gisait un corps, lécher par les vagues… Le pourquoi de tout ça personne ne le savait, ou ne le saurait. Un enfant, d’une taille monstrueuse - par rapport aux enfants de fées - qui plus est, avec des traits d’animaux ! C’était peut-être une espèce animale, plus ou moins intelligentes, mais les animaux, ça vivait dans des enclos, ou dans des cages - Les cages, c’est mieux pour quand on n’est pas sage – une petite bête toutefois bien curieuse, et fascinante, qui semblait imprégner d’une énergie spécifique. 3 ans, la « bestiole » était aussi grande qu’une pixie, et elles l’avaient nommé Kilian : guerrier d’assaut, parce que chaque fois qu’il piquait une petite colère et hurlait, il se formait de petits arcs électriques sur son corps, et il lui sortait de petites griffes, du bout de ses petits petons. Mais si ce n’était que cela… Le temps de l’amusement était passé, les Aislings lui avait trouver une autre utilité : être leur nouvel instrument de torture contre leur cousine Pixie ! Enfermer dans une cage prévue à cet effet, il lâchait « la bête » qui… semblait surtout effrayé, et inutile - c’était un enfant, que voulait-elle qu’il fasse ? - la première fois, la petite fée espiègle, n’avait pas été dupe longtemps, et à l’horrible surprise des détentrices du monstre : ils s’amusèrent tous les deux, ensemble. Jusqu’à ce que la bête, fasse son office : aider par les sympathiques suggestions mentales malsaines et cauchemardesque, de ses détentrices… Il n’avait que 3 ans. Il les effrayait, comme il les fascinait, jusqu’aux jour ou trop grand et dangereux à leur goût, son enclos resta « malencontreusement » ouvert et… Il partit, sans se retourner…
1500 : La féline aubergiste de Doveport, retenait l’attention de la petite tigresse, alors que le géant tigré débutait une longue marche, sans se retourner. Elles s’aperçurent cependant, qu’il manquait quelqu’un. Il était parti.
1470 : Parti, le bruit de la « terrifiante bête », créé par les Aislings rôdant en Bloomsburg, attira des Crystas, qui dans leur grand altruisme, décidèrent de les aider à tirer cela au clair. Des Crystas dont, les WINGHEART. La « bête féroce » elle, avait suivi son petit instinct, mangeant des fruits, des insectes, ou des restes laisser par des Pixies effrayer – surtout par son apparence et sa taille - Tous ce que les Crystas ont finalement trouver, c’est une créature, à moitié animal et… Autres choses, qui leur ressemblait en partie. Créer par les Aislings, ils ne le croyaient pas, en tout cas, ce n’était une illusion devant eux. Non, une créature effarée, effarouché… Qui comprenait cependant, un peu, ce qu’on lui disait, sans pourtant pouvoir réellement répondre, à part son nom : Kilian, avait-il naturellement répondu. Pour les Crystas qui l’avait trouvé, c’était tout aussi naturellement évident : il devait l’aider. Alors ils l’emmenèrent, et il vécut avec les WINGHEART. Il aura d’abord fallu, établir les bases d’une confiance authentique, difficile quand on se pose tant de question, comme : Pourquoi ses parents l’avaient abandonné ici ? Est-ce que c’était pour son bien ? Pour que d’autres gens, s’occupent mieux de lui ? Pourquoi d’autres et pas eux ? Des questions qu’il ne cessa de se ressasser pendant des années…
1500 : Des questions qu’elle se poserait peut-être, sûrement, s’étant aperçu de l’absence :
- Kiyan ? Kiyan ?! KIIIYAN !
Il ne retournerait pas en arrière, comme il l’avait fait, tant de temps. Il partait, comme quand il est parti d’Aurorae, après des années d’interrogation sur son passé.
1471 : Moitié Fée ? Moitié animal, il était capable de « magie », mais pas de celle qu’on lui demandait. Heureusement, sa mère adoptive, Aingeal, enseignait la magie. Elle ne lui enseigna pas celles, qu’il faisait un peu par instinct ou réflexe, car ne la connaissait pas elle-même. Mais au moins, le contrôle de son énergie magique. Car, il avait beau essayer celle des fées, mais d’autres choses se produisaient : de « la foudre » entre les doigts, certains objets qui se mettaient à « léviter », ou à s’approcher soudainement de lui… Une catastrophe. Enfant il n’avait eût que de rares, camarades de jeux, jusqu’à ce qu’il n’en ait plus un seul : il grandissait, encore, encore et toujours « Un jour, ta tête elle touchera le ciel ! ». Même si c’était sur le ton de la moquerie, c’était beaucoup moins méchant que : le sans-aile, le géant, l’handicapé, le difforme, le monstre, la calamité… Pourtant, ses « parents » lui disaient que le « Karma » s’occuperait d’eux, et lui, il redoublait d’effort pour être « un peu plus comme les autres », dans ses études avec sa mère, sur l’énergie magique, mais aussi dans l’expérimentation de la sienne. Expérimentation, qui lui faisait toujours se posait la question de : qui était-il ? Qu’était-il ?... Car c’était justement sans parler, des autres aptitudes, non-magique, qu’il développait : cette capacité, à toujours trouver les autres à cache-cache. Il ne faisait pas exprès, il les trouvait, et eux ne le trouvait jamais. Il sentait leurs odeurs, entendait leur pas ou leur battement d’ailes de loin, ou sous prétexte qu’il ne savait pas, qu’il ne le pouvait pas voler, il ne regardait jamais en haut : dans le feuillage des arbres, lui on ne l’entendait pas. D’ailleurs, c’était parfois ainsi qu’il leur tombait dessus. Alors, au fil du temps, plus personne ne voulait jouer avec lui : pour eux, il trichait, et alors l’insultait, ce qui le mettait en colère, et évidement déclenchait des arcs électriques. Finalement, c’était les autres parents qui gardaient ensuite leurs enfants, loin de lui, et encourageait les WINGHEART à le garder chez eux… Et ses parents, l’encourageait tout de même – Évidement, c’était des Crystas - Une idée à pourtant déjà germer dans son esprit : aller voir ailleurs, s’il y était. Dans le sens, ou peut-être qu’ailleurs il y avait d’autres « lui », peut-être, ses parents ? Un endroit où il ne serait pas affublé, de toutes sortes de sobriquets, ou il ne serait pas la « moitié de quelques choses », mais ses parents l’en dissuadait. Parfois même… Manipulait ses rêves, influençait ses pensées. Mais cela revenait, incessamment, et il se sentait de plus en plus comme un animal en cage, mais quel animal ? De quelle race ? De quelle espèce ? et un jour : il se faufila tel le « demi » félin qu’il était, jusqu’à la rive la plus proche, là où il avait construit et cacher, ce qui allait lui permettre de trouver réponse à ses questions. Il ne savait rien de l’océan, mais il était sûr qu’il y avait quelques choses au-delà, il devait y avoir quelques choses !
1500 :
- R-REVIENS ! REVIEEENS !
Cria-t-elle, trop petite pour sauter la clôture, bientôt entourer des bras affectueux, de Jaanïa la lionne aubergiste.
Non, c’était trop tard pour revenir ! Il avançait tout droit, comme il s’était avancer droit vers son radeau de fortune, qu’il avait fabriquer comme il avait pu en cachette.
1475 : il quitte Livonia, il quitte Aurorae, sans se retourner ! Il rame droit vers l’inconnu d’une certitude profonde, droit vers un semblant de tempête… - Comme celle, qui se levait lentement à l’intérieur de lui, pendant qu’il marchait, et il s’éloignait de la ferme auberge, comme s’éloigné son radeau, qui ne valait pas grand-chose - le doute commençait à l’assaillir de ses dards, face aux jugements des vagues contre l’irresponsabilité, et l’immaturité de son acte ! La foudre qu’il croyait son alliée, tonna même contre lui ! Encore, encore et encore, alors que l’océan se moquait de son insignifiance, en le ballotant en tous sens à sa guise, et il rugit ! Il rugit à l’encontre de leur sentence sans appels, et rugit encore ! Jusqu’à ce que le ciel frappe son radeau, pour son insolence !
1500 :
- KIIIYAN ! REVIEEENS !
Il poursuivait son chemin, toujours, sans se retourner, mais on ne pouvait en dire autant de son estomac.
1475 : Retourner, comme les flots avait retourner la frêle embarcation. Il aurait pu l’entendre : « Kiliaaan ! Revieeens ! » mais il était parti, seul, sans prévenir, et même s’il voulait faire marche arrière, il ne le pouvait pas. Il s’accrocha, il s’accrocha de toutes ses forces. Il s’accrocha, au débris de son radeau - Comme il s’accrochait, à la conviction de bien faire - C’était trop tard, il avait fait un choix. Cependant, lui aussi aurait voulu avoir l’occasion, de crier, de toute ses forces, à ses parents : Revenez ! Revenez me chercher ! Aux WINGHEART, mais surtout à ses vrais parents. Peut-être qu’ils se seraient retournés ? Qu’ils auraient réfléchis et… Mais non. Non, il se réveil dans un lit, dans une pièce, toute petite, et il lui semble que cette « chambre » bouge ! Ainsi, il sort et monte un escalier de bois, alors que tout autour de lui semble tanguer. Pour cause, Kilian est sur un navire, en direction de : Doveport, en Myrfall. Rien que sur ce bateau, énorme, il reste un moment médusé, devant la « biodiversité » en présence : des gens, aux apparences aussi atypiques que la sienne ! Cependant, l’émerveillement ne dure qu’un cours instant : « Eh gamins ! T’as l’air plus en forme qu’hier ! » et « l’homme-ours » éclate de rire, alors qu’un « homme tout court » reprends : « Il est surtout moins pâle ! » et tout le reste de l’équipage rigole, quand « une autre » encore, avec des cornes, poursuit aussitôt « C’est bien beau tout ça, mon biquet, mais croit pas que tu vas t’tourner les pouces ! » le voilà, enrôler dans l’équipage, pour le reste de la traversée vers Doveport. Sur ce bateau, il apprend ce qu’est un « Hybride », ce qu’il semble être mais là encore, il manque « l’autre moitié » de la réponse. Sur ce même navire, avant de débarquer, il demande ou il peut en savoir plus sur son aptitude magique. Il apprendra, potentiellement, de qui ou de quoi il les tient ? Ce qu’ils lui ont cependant assurer, c’est qu’ils n’ont, eux même, jamais vu personne « manipuler de petites foudres », même en Myrfall.
1500 :
- KIIIYAAAAAN !
Criait-elle, alors que la jeune aubergiste, à la crinière neige, la serrait dans ses bras, tous contre elle. Regardant « Kiyan » s’éloigner lentement, mais sans se retourner une seule fois.
1475 : En débarquant à terre, il s’était retourné - mais là, présentement, il ne fallait pas ! Non, Surtout pas ! Il devait avancer ! Droit ! Seul ! Comme, il l’avait toujours fait, envers et contre tout ! - Il devait persévérer dans sa quête, il avait rencontré des « Hybrides », comme lui, sur ce navire, et en rencontra alors bien d’autres - Comme elle d’ailleurs… - mais jamais, tout à fait comme lui. Au fil du temps, il étouffe la douleur, il prend sur lui et l’enfouis - restant sourd aux cris – Il arrive au-devant de la boutique, d'un pseudo-mage qui devait l’aider, et bon sang, que la plupart des humains pouvait être petits - moins que les fées, mais presque. Cependant, en « bon Crystas », il voit et course un voleur de bourse. Il le poursuit, ou finalement à bout de souffle, il lui lance la première chose qui lui passe sous la main… Une fois la bourse en main, il était épuisé, il avait faim, il avait soif, il avait une bourse, il avait le choix. Jamais, le « Karma » ne lui avait rendu justice. Il pouvait agir pour lui-même, les Aislings ne s’en était jamais soucier, surtout après ce qu’il lui on fait subir plus jeune. Il avait faim, il avait soif, il avait une bourse, il avait le choix, il était seul…
1500 :
- KIIIYAAAN ! REVIENS ‘TE PLAIIIT !
Supplique, qui fendait le cœur de la lionne, à qui elle était confiée.
1475 : Le propriétaire de la bourse, le remercia, et s’en alla. Il avait eu le choix, et la bourse… il avait toujours faim, soif. Qu’est-ce que cela, lui avait rapporté - Qu’est-ce que cela, lui rapporterai… - Myrfall, n’était finalement pas, ce qu’il croyait. Son instinct, le poussait alors à aller vers une forêt « Un instant ! Attendez, excusez mon étourderie. Jeune homme, je… Avez-vous mangez ? » Kilian WINGHEART, sourit. Le propriétaire de la bourse, revenu sur ses pas, l’invita à l’auberge la plus proche - Il était revenu, lui, sur ses pas… - Cependant, ce n’était pas, uniquement pour le remercier, dévisageant sa stature déjà bien impressionnante, pour son âge. Cet homme, avait une idée en tête, c’est ainsi qu’il entendit ce mot pour la première fois : « Mercenaires ».
1480 : Kilian travaille pour cet homme : Claudius TORSSON, créancier. 5 années passé, où il a d’abord commencé par de « petites courses » ou « livraisons spécifique ». Cependant, l’ampleur de ses tâches, grandi en même temps que sa taille et sa corpulence, et surtout ses différentes aptitudes et compétences : là où il se trouvait, il n’avait pas son pareils, pour retrouver et récupérer, l’argent que les gens avaient emprunté, et souvent à Claudius lui-même. Sa pensée prenant de la maturité, il se demandait de plus en plus s’il agissait toujours, comme il fallait – surtout par rapport à son éducation passé. Bien sûr, il n’était pas toujours à courir à droite et à gauche, seulement quand Claudius le « sonnait », car celui-ci avait d’autres hommes, qu’il chargeait d’autres affaires. En 77, il s’est donc lié d’amitié, avec un forgeron, Torkild ERLANDSSEN. L’artisans, voyant ses regards contemplatifs, lui proposa alors un jour de lui apprendre à forger. Déjà, naturellement, attiré par cette matière qu’est le métal, il s’en sentit encore plus proche en la manipulant, naquit une passion pour la forge. TORSSON observait alors par moment, foudre et métal, ne faire qu’un, alors que Kilian cinglait. Ainsi, quand il ne travaillait pas avec TORSSON, il était à la forge – ce que Claudius, ne voyait pas d’un très bon œil, surtout par rapport à la relation entretenue avec Torkild… - Le travail du métal, semblait effectivement, réveiller bien des choses à l’intérieur du demi-fauve. La chaleur, le contact avec le métal, modeler celui-ci, transformer une loupe de fer en la cinglant, et là encore Torkild observait parfois avec stupéfaction : un outil métallique à distance de Kilian, venir à lui, attiré par une foudre. En forge, il n’est pas toujours nécessaire de frapper fort, mais il fallait surtout savoir, où et comment, frapper. Forger était tout un art, qui exigeait autant de concentration, que quand il pistait quelqu’un, mais… Kilian sentait bien, qu’il y avait plus, tous comme Torkild. Néanmoins, les coups de Torkild témoignaient de son expertise, et il admirait cette maîtrise de la force brute, « Ce n’est pas le marteau qui forge, c’est l’enclume, alors rien ne sert de marteler comme un forcené. Tu t’épuise pour rien. » lui disait-il souvent au début. Il arriva même, avec le temps, qu’il le laisse faire quelques-unes de ses commandes, pendant qu’il s’occupait d’autres plus importantes. Pour peu qu’il puisse les finirent, avant que Claudius, ne viennent demander après le jeune homme - Torkild non plus, ne voyait pas la relation de Kilian avec Claudius, d’un très bon œil, et avait aussi ses propres raisons - pourtant selon lui, c’était un bon garçon qui n’avait pas besoin de ce genre d’individus, ainsi donc était partager le jeune demi-sang. Car Claudius avait été le premier, et le seul à l’avoir accepté comme il était, à lui faire confiance, aussi comme Torkild. Il n’eût néanmoins, plus à se soucier de ce déchirement, quand la forge brûla… Il venait, de perdre un énième parent. Pourquoi ?
Toujours en 1485, quelques jours à peine après le drame, TORSSON demande à Killian de l’accompagner jusqu’à Gören. Pour une raison qu’il ne lui dévoila que, grossièrement : « Déposer de grands biens » qu’on lui a expressément demander, et compter quelqu’un de confiance de confiance comme Kilian dans ses rangs, était un plus. Gören, une autre terre au-delà des eaux, dont ERLANDSSEN lui avait parler, ou du moins, grâce à un de ses amis originaire de là-bas : un Dwarf, ou nain. Torkild, voulait voir les forges naines, il n’en a pas eu l’occasion. Décidément, ce monde était bien vaste, bien plus vaste qu’Aurorae. Voyage maritime donc, qui ne manqua pas de lui rappeler le sien, qui l’éloigna de la terre des fées. Par certains côtés, les soirs étoilés, sa famille ailés lui manquait - Lui manquerait-elle autant ? - y reviendrait-il un jour ? Il avait certes, un excellent sens de l’orientation, il trouvait toujours Nord semble-t-il d’instinct. Toutefois, comment retrouver Aurorae, en pleine océan ? Les marins parlaient de suivre les étoiles, mais laquelle ? Dans quel sens ?
1500 :
- KIYAN, REVIEEEENS ! ! !
Il lui était impossible, de revenir. Il ne pouvait pas. Il ne devait pas, se retourner, comme à Aurorae, comme à Gorën...
1480 : Traîtrise, et mensonge… Comme à Aurorae. Ou comment se faire manipuler, par quelqu’un qu’on tient en grande estime ! Comme quand sa famille adoptive, le manipulait « pour son bien ». Ce n’était plus de la créance, en fait ça ne l’était plus depuis déjà bien un longtemps : c’était de l’esclavage illégale. Il avait été bien trop aveuglé, par les ambitions de son jeune âge, pour s’en rendre compte ! Ambition, que Torkild avait payer de sa vie ! De l’esclavage illégale, maquiller en « commerce de créatures exotiques » ! Commerce dont le forgeron, avait sans doute voulu finir par en toucher deux mots à Kilian. Histoire qu’il ne soit pas mêlé à tous cela. Certaines des personnes, dont il s’était « occuper » pour Claudius, en faisait d’ailleurs parti ! Des esclaves, pour leur faire payer leur dette, ici à Gorën ! C’était lui, le responsable… Le responsable, de la mort de Torkild… L’un d’eux le lui souffler.
Claudius ne démenti pas… Prit d’une rage féroce, il ne laissa que feu, cendre, et métal tordu, bois brisé… Claudius. Il l’a entendu le supplié, de revenir vers lui, alors qu’il était aux prises avec 2 Velanas. Le sang-mêlée après son déferlement de rage, était plus qu’épuisé, poursuivant son chemin aider d’une elfe, qu’il venait de libérer, parmi les autres. Il s’arrêta cependant un instant, sans se retourner, et écouta le vieil homme le supplier, puis les hurlements que celui-ci poussa, jusqu’à ce qu’il se tût. En chemin, lui et la jeune elfe, Bahia ADILA, échange et converse. En lui parlant de Torkild, elle décide pour le remercier, de l’amener ou vivent des amis à elle, des nains, soit à : Ghikaan. Là-bas, il fût remercié d’avoir aidé leur amie, et invité à rester quelques jours. Là, ici dans ce village, quelque chose l’attira : une des fameuses forges naines. C’est en échangeant avec les nains, qu’il fit la connaissance de l’ami en question de Torkild, Afdal DAHIR, et lui appris le décès de celui-ci. Quelques jours à Ghikaan, devinrent des semaines, n’ayant plus de « travaille » ou de moyen de quitter Gorën. Des semaines, qui devinrent des mois, principalement en compagnie de Bahia et Afdal, puis des années.
1490 : 10 années à apprendre d’eux, 10 années à apprendre de lui-même ; Bahia en tant qu’Elfe, lui apprenait ce qu’elle savait de la magie, certes pas de la sienne, mais elle l’aidait par divers conseils, afin d’optimiser sa maîtrise de la foudre. Cela en plus de ce qu’il se rappeler, des enseignements d’Aingeal, et du temps pour pratiquer il n’avait que ça, tout comme pour la forge, avec Afdal, où il sentait bien, de plus en plus, que quelques choses voulaient s’éveiller, mais quoi ? Et comment ? Suivant l’exemple des nains, autonomes et indépendant, il trouva le moyen de s’exercer, de s’entraîner, mettre en pratique ses différentes formation au travers d’une seule activité, qui l’attirait de plus en plus : la chasse, ce qu’il faisait déjà à Myrfall, mais seulement de temps à autres. Ainsi, la chasse de créatures diverses et variées, fût son activité principale hors forger, et sans travail, il fallait bien manger. Son élément de foudre plus offensif, qu’il apprenait à utiliser avec parcimonie, de façon stratégique et créative, et il y avait cette attirance pour le métal, qui selon Bahia pouvait être potentiel sphère de magie, mais que personne de sa connaissance ne savait maîtriser. Etat de chose qui lui rappelait, ce qu’on lui avait dit en arrivant à Myrfall. Elle ne savait donc pas, non plus l’utilisé, mais savait reconnaître une forme de sphère de magie quand elle en ressentait une. Là encore se posa la question : quelle sorte de créature, pouvait bien avoir le pouvoir, de manipuler l’élément de foudre et de métal ? De quelle espèce, de quelle race, pouvait bien être l’un des deux parents de Kilian ? Une nouvelle fois, d’où venait-il ? Pas de Xavaar, pas de Gorën, pas Baltoise non plus, toujours selon l’Elfe, pas de Myrfall, ni d’Aurorae. Alors d’où ? Pour le découvrir, il devait voyager. D’où l’idée, en aidant Afdal à livrer des choses à la ville de Gorën, de devenir « chasseur de primes », cela en voyant une affiche. Les subtilités du travail du métal, l’aiderait au niveau « logistique », et la foudre au niveau « offensive ». Tout était alors question, de réussir à travailler les synergies possibles, entre ses différentes aptitudes, car chasser un animal, n’était pas comme chasser un homme, un elfe, ou un autre hybride, ou autre chose. C’est d’ailleurs ainsi, qu’il récolta la plupart de ses cicatrices, et pas des moindres, surtout celle au bas du dos… Quand il perdit, plus tard, sa queue face à un démon.
Dans sa chasse, il avait alors 3 motivations : récolter assez d’argent pour quitter Gorën, traquer le plus de crapules possibles du genre de Claudius, pour que des gens comme Bahia, ou Torkild, n’ait plus à subir les conséquences de leur délit ou crimes. Puis, enfin : peut-être qu’au cours d’une de ses traques, de ses chasses, l’une d’elle le conduirait chez lui, son vrai chez lui. Car pour l’instant, en quittant Gorën pour aller « autres part », il serait seul. Toujours seul, le seul. Arriva alors le moment pour lui, de partir, de nouveau. Partir loin, toujours sans se retourner. Ne pas regretter Afdal, ou Bahia.
1500 : Non, non il ne s’était pas retourné, mais… Ce vide, ce manque. Il s’était échappé, mais… De quoi ? Depuis ces 8 dernières années, c’était les autres, qui tentait de s’échapper. Il le fuyait, lui les rattrapait, mort ou vif, selon la situation. Une prime après l’autre, il avançait, seul, mais… Vers quoi ? Vers qui ? Sinon pour lui-même. Dans une quête, qui ne semblait pas avoir de fin, une quête avec un objectif, aussi illusoire que celui des fées d’Aurorae. Une quête qui le rongeait, et finirait sûrement par l’avoir à l’usure. Un jour pourtant, il s’est arrêter d’avancer, juste pour lui.
Il n’avançait plus, et il y avait ce soudain vide. Ses oreilles de chasseur, ne percevait plus rien. Était-ce, la distance ? Lui était-elle arrivé quelque chose ? Que lui était-elle arrivé, pour qu’un jour, il la trouve ainsi, toute seule.
1498 : Cette nuit, assis devant son feu de camp, il se senti épier. Un piège ? Une embuscade en préparation ? Non. Faisant tourner sa viande sur son feu, oreilles tendues, il percevait le mouvement à proximité. C’était petit et et plus moins vif, une petite créature, peut-être un lièvre ou autres, mais ça n’en avait pas l’odeur. Il décida alors, de faire semblant de s’assoupir. De nouveau, de petits bruits éveillèrent ses sens, des petits pas dans l’herbe fraîche, de petits bruits d’effort et… Une chute d’objet ! Quand il se retourna, il y avait bien quelqu’un, ou quelque chose : qui a fait chavirer son gigot, et qu’il vit s’enfuir dans les fourrées ! La dernière qui marqua son esprit : une toute petite queue, disparaissant en serpentant derrière les buissons. « Elle », à l’odeur, n’était pas bien loin, selon son ressenti électrique - Très pratique dans l’obscurité, même quand on est nyctalope - « Elle » était effrayé, il le sentait. Il se lève alors, en allant dans le sens opposer - contournant par la même, la mystérieuse petite créature, afin de la prendre à revers - le chasseur se déplace sans bruit aucun, de préférence, le plus possible face au vent. Puis, à une distance raisonnable : s’empare de sa cible, par la queue ! une fille ! Une toute petite fille, tigré et crépitante, feulant comme un chaton, se débattant et gigotant, de toute ses petites forces la tête en bas ! Quelle surprise, que faisait-elle là ? Là, toute seule, nue et cacher dans ces fourrés. Il fallut un moment, avant qu’elle se calme. Enfin, qu’elle s’épuise plutôt. Poser à proximité de lui, il lui parla en mangeant, mais elle ne répondait pas, elle n’essayait même pas de fuir, trop occuper à salivait en le voyant manger. Finalement, il lui donna un morceau de viande qu’elle s’empressa de dévorer, s’en étouffant presque. Il essaya alors de nouveau « Sont où, tes parents ? », aucune réponse. Une nouvelle fois « Sont où, Papa et maman ? », « m-man'man ? » répondit-elle d’une toute petite voix. « Oui. Ou est, ta, maman ? » elle pointe une direction du doigt, triste, en disant « M’man ‘atigué, dodo là »
1500 : Kilian, s’est retourné, là vers cette auberge, à Doveport. Mais il n’y a plus personne. Elle n’était plus là, et il était de nouveau seul, mais il avait bien fait non ? Il avait fait comme ses parents, qui avait sûrement cru bien faire, eux aussi…
1498 : Toute seule, il n’y avait plus personne, pour répondre au doux nom de maman, pour Lili. Cela depuis déjà, presque 2 jours. Il lui avait demander, de l’emmener voir sa mère… - Est-ce que c’était ça, la vérité ? La vérité à laquelle, il s’était toujours refusez de pensée - l’ayant découverte, dans un état déplorable, il ne pouvait la laisser ainsi. Lili, n’était pas en âge de comprendre, et lui s’efforcer de ne pas y penser. Il enterra la « mère demi-tigresse », et pour le coup, il arrivait à se demander : et si, ses véritables parents était mort… Avait-on eût, le même geste pour eux ? Pensée, si horrible, si morbide… Elle n’avait pas bougé, en le voyant creuser, mais quand il y mit le corps, le recouvrant de terre, la petite alla subitement pour enlever la terre de ses petites mains,… La terre s’agglutinait, et s’amoncelait, plus qu’elle ne pouvait en enlever. Elle se mit alors en tête, d’aller le frapper, le mordre, le pousser… Et lui ? Qu’est-ce qu’il pouvait bien y faire ? Comment lui expliquer ? Il ne se l’expliquait pas lui-même… Alors, il la laissa faire. Probable, qu’il aura réagi pareils, mais l’avait-il fait ? Il ne s’en souvenait pas, c’était trop loin, il ne se souvenait de visage ni de mère, ni de père, à part ceux des WINGHEART… La petite s’en souviendrait-elle ? C’était comme-ci, il se voyait enterrer sa propre mère, qu’il n’avait connu… Aussi horrible, un cauchemar digne d’une Aisling. Pourtant, c’était bien la réalité, et celle de Lili.
1500 : En y repensant, il se disait qu’après tout, elle lui avait causer tellement d’ennuis : après qu’il ait décidé de l’emmener avec lui. Il fallait toujours avoir l’œil sur elle, jamais la perdre de vue, toujours à trouver une bêtise à dire ou à faire, lui apprendre à dire merci, à ne pas voler, à ne pas taper les gens sans raison, et… Au bout d’un moment, elle faisait tous ce qu’il faisait, ou comment avoir une vision de soi, en modèle réduit. Flatteur ? Mignon ? Pas toujours, surtout quand il faut rattraper une de ses bêtises, et expliquer à des abrutis et crétins fini, que ce n’est qu’une enfant. Un autre jour, contre des enfants plus nombreux et plus grand qu’elle, quand s’amusait à la chahuter, elle avait « rugi » – ou au moins essayer - comme Kilian l’aurait fait. Elle le fit 1 fois, 2 fois, alors que les enfants se moquait d’elle, ils ont fini par détaller comme des Lapins ! Le géant, leur avait discrètement fait les gros yeux, et elle se retournant « ‘A vu, ai fais comme toi ! » toute fière. De nouveau, quand il s’arrêtait à une forge, elle le voyait taper avec un marteau, la chaleur ne la dérangeait pas, et elle le regardait faire, jusqu’à ce qu’elle veuille faire pareils… Et se fasse mal - Marteau trop lourd, pour ses petites mains – sans parler de la frayeur qu’elle a causé à Kilian. Il lui a alors fait un petit marteau, juste pour elle – avec lequel elle dort, comme un doudou - Un jour… Elle manqua de se faire béqueter, tuer. Il eut de nouveau peur. Peur, pour quelqu’un d’autres que lui. Pas que c’était la première fois, mais… Pour Lili, c’était différent. La seule, plus grande peur de sa vie, la perdre et… Est-ce que c’est pour ça, que ses parents l’avaient abandonné ? Avaient-ils eu peur, de lui ? De ne pas pouvoir, s’occuper de lui ? Est-ce que, c’était ça, qu’il fuyait ? La peur ? Celle, d’être seul ? Ou celle, de ne pas être à la hauteur ?
Kilian WINGHEART, chasseur de prime, se remit finalement en marche, sous le regard de la lionne de Doveport…
- Kiyan, ai faim ‘te plait !
- Non, pas maintenant.
- Si ! Main’nant !
- J’ai dis, non.
- Si !
…Vers de nouvelles aventures.
|  |
| Messages : 9
Écus : 2522
Date d'inscription : 07/02/2021
Âge : 37
Origine : Whabbeck
Emploi : Chasseur, Chasseur de Prime
|
